Perrenoud, Philippe
Pédagogie
différenciée :
des intentions à laction
Paris, ESF, 1997, 2e éd. 2000.
Ce livre ne peut être mis intégralement à disposition sur le Web. On trouvera ici :
Le résumé (quatrième de couverture) L'introduction, qui présente les divers chapitres Les références bibliographiques
|
Les pédagogies différenciées ne tournent pas le dos au projet de lécole, qui reste de donner à tous une culture de base commune. Sans renoncer à diversifier tout ce qui peut lêtre, leur enjeu est ailleurs : faire en sorte que tous les élèves aient un réel accès à cette culture, se lapproprient vraiment.
Tenir compte des différences, cest alors placer chacun dans des situations dapprentissage optimale pour lui, cest aller vers léducation sur mesure dont rêvait Claparède au début du siècle. Les pédagogies différenciées sattaquent à ce défi. Si lintention principale demeure stable, les façons de poser le problème se renouvellent : à lenseignement individualisé, isolant lélève face à des tâches papier-crayon, on cherche à substituer une différenciation à lintérieur de situations didactiques complexes et ouvertes, confrontant chacun à ce qui fait obstacle, pour lui, à la construction des savoirs. On travaille sur le transfert et les compétences. On interroge la relation pédagogique, les fonctionnements de groupe, la distance culturelle, le sens des savoirs et du travail scolaire. Parallèlement, on construit des dispositifs dindividualisation des parcours de formation, on fait éclater les limites de la classe, on organise le suivi des progressions sur plusieurs années, on crée des cycles dapprentissage, on invente une nouvelle organisation pédagogique.
Ce livre tente de faire le point sur létat des principaux chantiers de la pédagogie différenciée. Chacun décline une figure du même dilemme : comment tenir compte des différences sans enfermer chacun dans sa singularité, son niveau, sa culture dorigine ?
Table des matières
Chapitre 1
De lindifférence aux différences
aux pédagogies différenciées :
itinéraires
Chapitre 2
Pédagogies différenciées : état des
lieux
Chapitre 3
Différenciation et pratiques pédagogiques
favorables au transfert de connaissances
Chapitre 4
Maîtriser la distance culturelle dans le rapport
au savoir, à lesthétique et à la
norme
Chapitre 5
Dispositifs dindividualisation des parcours de gormation :
approche globale
Chapitre 6
De la difficulté de penser une scolarité sans
degrés annuels
Chapitre 7
Vertus et limites dune gestion intégrée du
curriculum dun cycle dapprentissage
Chapitre 8
Esquisse dune organisation modulaire
dun cycle dapprentissage
Conclusion
Stratégies de changement
Différencier lenseignement, cest " faire en sorte que chaque apprenant se trouve, aussi souvent que possible, dans des situations dapprentissage fécondes pour lui " [Perrenoud, 1996 b]. Pour réaliser cette idée simple, il faut profondément changer lécole. Ajoutons immédiatement quadapter laction pédagogique à lapprenant, ce nest, pour autant, ni renoncer à linstruire, ni en rabattre sur les objectifs essentiels. Différencier, cest donc lutter à la fois pour que les inégalités devant lécole satténuent et pour que le niveau monte.
Il nest de pédagogue engagé dans lécole nouvelle ou les méthodes actives, ou tout simplement sensible à léchec scolaire, qui nait plaidé, à sa façon, pour un enseignement individualisé ou une pédagogie différenciée. Développer une " éducation sur mesure ", selon la formule de Claparède [1973], est le rêve de tous ceux qui trouvent absurde denseigner la même chose au même moment, avec les mêmes méthodes, à des élèves très différents. Le souci dajuster lenseignement aux caractéristiques individuelles ne naît pas seulement du respect des personnes et du bon sens pédagogique. Il participe dune exigence dégalité : lindifférence aux différences transforme les inégalités initiales devant la culture en inégalités dapprentissage, puis de réussite scolaire, comme la montré Pierre Bourdieu [1966]. Il suffit en effet dignorer les différences entre élèves pour que le même enseignement :
En dépit de ces évidences, et des analyses de plus en plus précises de la fabrication des inégalités et de léchec depuis les années soixante, le mode dominant dorganisation de la scolarité na guère changé : on groupe les élèves selon leur âge (censé indiquer leur niveau de développement) et leurs acquis scolaires, en " classes " quon feint de croire suffisamment homogènes pour que chacun aient des chances dassimiler le même programme durant le même temps, une année scolaire. À lintérieur de ces groupes, la différenciation des traitements pédagogiques est très variable. Elle reste parfois très faible : lenseignement frontal est loin davoir disparu des classes, en particulier au second degré.
Comment expliquer la persistance dune pédagogie qui demeure indifférente aux différences ou qui, dans le meilleur des cas, nen tient compte que marginalement, dans des proportions dérisoires en regard de lampleur des écarts ? Cette relative inertie ne signifie pas que nul ne se préoccupe du problème. Même si, comme nous le verrons, la volonté politique de lutte contre léchec scolaire reste incertaine, les sociétés développées sont confrontées à trop de défis pour que les classes dirigeantes veuillent fabriquer de léchec scolaire aux seules fins de garantir la transmission de leurs privilèges et la reproduction des hiérarchies sociales. Nous sommes sortis de la période où linégalité et léchec scolaire ne constituaient pas des problèmes de société. Nous quittons aussi - lentement - la tranquille assurance de lidéologie du don, pour laquelle léchec, aussi regrettable soit-il, paraissait dans lordre des choses, conséquence inéluctable de linégale répartition des aptitudes. Nous sommes en train, enfin, de nous éloigner du fatalisme sociopolitique des années soixante-dix, autour du thème de la reproduction.
Si les pédagogies demeurent faiblement différenciées, cest maintenant, pour une part, en dépit des politiques de léducation et de lévolution des représentations sociales des causes et des coûts de léchec scolaire, qui plaident pour des mesures plus énergiques de démocratisation. Il est donc temps, là où la volonté politique nempêche plus toute réforme, de proposer des réponses pédagogiques à léchec scolaire.
Cest ce que tentent, depuis des décennies, les mouvements déducation nouvelle et les sciences de léducation. Des idées jugées utopiques, bonnes tout au plus pour les écoles alternatives ou les praticiens marginaux, sont aujourdhui reprises par les textes officiels. Les idées et les mots varient, depuis le début du siècle, mais on discerne un fil rouge : le thème de la différenciation de lenseignement. Sans renier cette continuité, observons aussi un changement progressif de paradigme : de lindividualisation de laction pédagogique dans une organisation scolaire inchangée, nous en venons à lidée dune individualisation des parcours de formation, qui suppose une rupture avec les degrés et les programmes scolaires annuels [Bautier, Berbaum et Meirieu, 1993 ; Perrenoud, 1996 b]. Cest à ce changement de paradigme que sintéresse le présent ouvrage, qui sattache à analyser les obstacles et à suggérer quelques pistes.
Sil y a un siècle, lécole pouvait se satisfaire de scolariser chacun quelques années, le temps de lui donner une instruction élémentaire, elle a désormais de plus fortes ambitions. Cest pourquoi, bien loin dêtre des préoccupations particulières, la différenciation de la pédagogie et lindividualisation des parcours de formation sont, ou seront, au cur des politiques de léducation des pays développés.
Cet ouvrage tente de faire le point. En l'état de la réflexion, il serait bien prétentieux de proposer une synthèse. Les chapitres qui suivent ne font pas le tour de la question. Ils tentent cependant de retrouver un fil rouge, de lier les prémisses - l'analyse des causes de l'échec scolaire -, les intuitions fondatrices des pédagogies différenciées et les problèmes auxquels on se heurte lorsqu'on cherche à concevoir et à mettre en place des dispositifs. De l'intention à l'action, le chemin est parsemé d'embûches, qui sont théoriques aussi bien que pratiques.
D'autres travaux approfondissent des aspects pédagogiques et didactiques pointus liés à la différenciation, dans des disciplines définies [Charnay et al., 1995]. Je m'en tiendrai ici à une approche plus globale, systémique, à partir d'une sociologie de l'éducation nourrie de sociologie des organisations et du travail. On ne s'étonnera donc pas que l'ouvrage ne soit pas, comme le thème pourrait le laisser penser, tourné en priorité vers les difficultés scolaires des apprenants. La différenciation, telle qu'elle est conçue ici, est l'affaire des enseignants et du système éducatif. Elle répond certes aux différences entre enfants ou adolescents, mais la seule variable changeable, ce sont les pratiques et les dispositifs pédagogiques et didactiques, donc le travail des professionnels et les structures qui le rendent possible et en tracent aussi les limites.
Le chapitre 1, " De lindifférence aux différences aux pédagogies différenciées : itinéraires ", tente de reconstituer, à grands traits, les raisonnements qui ont donné naissance aux pédagogies différenciées comme pédagogies rationnelles, conçues pour neutraliser lun des principaux mécanismes de fabrication de léchec scolaire et des inégalités. On insistera sur la nécessité de disposer dun modèle explicatif de léchec, sans lequel on déploie des efforts en pure perte, faute de comprendre à quoi on sattaque. On rappellera quavant de rêver de pédagogies différenciées, les systèmes éducatifs ont cru au soutien des élèves en difficulté comme alternative au redoublement.
Le chapitre 2, " Pédagogies différenciées : état des lieux ", propose un rappel des principales étapes et un inventaire des chantiers aujourdhui ouverts. Les enjeux sont en partie connus. Ils sorganisent autour de la vision de lapprentissage et de lenseignement ; de la conception de la différenciation (en amont ou au cours de laction pédagogique) ; de la place de lévaluation comme mode de régulation ; enfin de la relation et de la distance culturelle. Des enjeux plus récents émergent, notamment autour de lindividualisation du curriculum et des parcours de formation, avec une modalité possible, la création de cycles dapprentissage, une notion encore ambiguë, mais qui oblige à repenser et à réaménager radicalement les temps et des espaces de formation.
Le chapitre 3, " Différenciation et pratiques pédagogiques favorables au transfert de connaissances ", adopte un point de vue plus didactique. Il est inutile de différencier des pédagogies incapables dengendrer des apprentissages essentiels. La pédagogie différenciée ne tourne pas le dos à la didactique des disciplines, aux théories de lapprentissage scolaire situé, aux travaux sur lévaluation formative, les régulations, la métacognition. Elle interroge ces courants de recherche et tente de les amener à contribuer à des démarches didactiques favorisant la construction de connaissances transférables et de compétences, même et surtout chez les élèves qui, dans une pédagogie frontale, napprennent pas grand chose.
Le chapitre 4, " Maîtriser la distance culturelle dans le rapport au savoir, à lesthétique et à la norme ", propose un contrepoids au " tout didactique ", sans pour autant revenir au " tout relationnel " dépourvu de contexte social. En dernière instance, ce sont des personnes qui communiquent, chacune charrie et met en jeu son histoire, sa singularité, ses désirs, ses contradictions, sa façon dêtre au monde et dentrer en communication avec les autres, autrement dit son inconscient aussi bien que ce quelle doit à la culture de sa famille, de sa classe sociale et dautres appartenances. Lévaluation formative la plus sophistiquée, la didactique la plus pointue, ne pourront rien " si le courant ne passe pas ", tout le monde le sait. Au vif des hérétogénéités majeures de développement intellectuel, de savoirs, de maîtrise de la langue, on trouve dinfimes et dultimes différences, qui relèvent de la psychologie, de la sociologie et de lanthropologie, plus que des approches didactiques et pédagogiques classiques. Cela ne veut pas dire quelles ne touchent quaux valeurs ou aux sentiments. Elles investissent tout autant les savoirs, le rapport au savoir et les démarches intellectuelles les plus abstraites. Selon les normes quil met en place à la faveur de son autonomie, lenseignant atténue ou aggrave la distance entre certains élèves et lécole. Cest une facette, souvent oubliée ou sous-estimée, des pédagogies différenciée.
Le chapitre 5, " Dispositifs dindividualisation des parcours de formation : approche globale ", tente de clarifier le concept dindividualisation des parcours. Le curriculum réel des élèves ou des étudiants est individualisé de facto, quelle que soit la pédagogie en vigueur. Même sils sont assis côte à côte durant des années, les enfants, puis les adolescents ne vivent pas des expériences identiques, tout simplement parce quils sont différents. Ils napprennent donc pas la même chose. Cest pourquoi il ne sagit pas dintroduire une individualisation qui existe déjà de façon sauvage, mais de la maîtriser, pour que lexpérience de chaque personne devienne une succession optimale dexpériences formatrices. Pour avancer dans ce sens, il nest ni possible, ni souhaitable, de généraliser une prise en charge individualisée, conçue comme relation duale entre un formateur et un étudiant. Le vrai défi est dimaginer les dispositifs favorisant des interactions entre élèves, dans le cadre de divers groupes de travail, sans empêcher une individualisation du parcours de chacun. Cela peut évoquer la quadrature du cercle. Meirieu [1989 a et b] a montré, en décrivant litinéraire des pédagogies de groupes, que ce problème nest pas insoluble. Il se pose aussi en formation des adultes et cette dernière pourrait utilement inspirer les dispositifs développés dans lenceinte scolaire, offrant une rupture avec les traditions pédagogiques qui empêchent souvent de concevoir les choses autrement.
Le chapitre 6, " De la difficulté de penser une scolarité sans degrés annuels ", revient à la formation de base et interroge la structuration du cursus scolaire en niveaux ou degrés annuels. Lindividualisation des parcours ne se développera quen saffranchissant de cet héritage, par exemple en créant de véritables cycles dapprentissage. Il ne servirait à rien de sen tenir à une variante minimaliste, celle qui laisse subsister les niveaux annuels, en se bornant à interdire le redoublement, voire en autorisant lappartenance de certains élèves à plus dun niveau. Pour créer de nouveaux espaces de formation, il est temps de développer des utopies gestionnaires, en renouant avec les avancées du XIXe siècle en matière dorganisation pédagogique. Le système éducatif sest enfermé dans un type dorganisation qui a permis la scolarisation de masse, il devient nécessaire de la repenser, en partant du principe quune réorganisation de la scolarité ne vaut que si elle permet à davantage délèves de mieux apprendre. Il importe notamment quelle représente un progrès sensible pour les élèves en difficulté, car ceux qui réussissent sans peine dans lorganisation actuelle de lécole ne justifient pas sa réforme. En contrepartie, une réorganisation visant les moins favorisés ne doit pas pénaliser les " bons élèves " daujourdhui. Visant à réduire les écarts, les cycles dapprentissage ne sauraient y parvenir au prix dun nivellement par le bas. Cest pourquoi on ne peut les considérer uniquement comme une extension des mesures daide aux élèves en difficulté ou en échec. Ils ne valent que sils rendent possible une meilleure formation de base de lensemble des élèves. Pour cela, il faut habiter une coquille vide, concevoir, puis faire fonctionner, des dispositifs didactiques sans commune mesure avec ce que nous connaissons. La vertu des structures ne se joue pas principalement dans les textes, mais dans leur mise en uvre au quotidien par des acteurs dont elles définissent les tâches, les responsabilités, les coopérations nécessaires, mais auxquels elles laissent une large marge dinterprétation et dautonomie. Si le ministère institue des cycles dapprentissage, alors que tous les enseignants préfèrent continuer à fonctionner degré par degré, les cycles nexisteront que dans les textes
Le chapitre 7, " Vertus et limites dune gestion intégrée du curriculum dun cycle dapprentissage ", examine le fonctionnement le plus probable dun cycle dapprentissage qui aurait véritablement rompu avec les degrés annuels. Il constituerait un espace-temps de formation sans aucune structuration interne stable, ce qui suppose des dispositifs très forts et efficaces de suivi et de régulation des progressions individuelles, dune part, et dautre part un répertoire de dispositifs didactiques flexibles et des savoir-faire pointus en matière de groupement des élèves et dorganisation du travail. Dans cette gestion dun cycle, que jappellerai intégrée, le risque nest pas mince quune organisation pédagogique mal maîtrisée accroisse les écarts quelle voulait combattre. La régulation optimale, à la fois, des situations dapprentissage quotidiennes et des progressions sur de longues période, suppose, en effet, une organisation du travail alliant rigueur et imagination, donc une équipe pédagogique aussi cohérente que qualifiée.
Le chapitre 8, " Esquisse dune organisation modulaire dun cycle dapprentissage " part de ce risque et tente dimaginer une organisation alternative, dite modulaire. La gestion intégrée dun cycle dapprentissage est menacée dune dérive majeure : respecter les rythmes et les différences au point denfermer chacun dans sa singularité et son écart à lobjectif. Chaque semaine, dix apprentissages différents, dans toutes les disciplines enseignées, sont censés se poursuivre en parallèle, chacun est, en alternance, repris, puis mis entre parenthèses, au gré de la grille horaire. Cette façon de faire interdit la poursuite intensive dun apprentissage, pour le mener à terme. Lalternative serait dadopter une organisation plus stable, interne à chaque cycle, selon une logique modulaire. Cest une hypothèse un peu folle, qui a au moins le mérite dobliger à traquer les sources de léchec scolaire dans lanalyse du travail enseignant. En organisant la scolarité par modules thématiques, on favoriserait une gestion dite " à flux tendus ", permettant un investissement qui ne prendrait fin quune fois lobjectif atteint. Ce chapitre propose de construire lhypothèse modulaire à partir dune critique des effets pervers du zapping permanent qui caractérise lécole. Sans offrir une alternative immédiatement réalisable, lorganisation modulaire oblige au moins à identifier les effets pervers de la gestion " à flux poussés ".
La conclusion ne proposera aucune certitude. Les chantiers sont ouverts, ils ne sont pas prêts dêtre fermés, continuons ! Le plus intéressant est de repenser les stratégies de changement à large échelle, en atténuant la césure entre les écoles innovatrices et le reste du système éducatif et en travaillant à la professionnalisation du métier denseignant et à lélévation corrélative du niveau de formation.
Un livre sur la différenciation ne peut que nourrir dinnombrables malentendus. Sans espérer les lever tous, trois mises en garde simposent cependant.
Allal L. [1989], Stratégies dévaluation formative : conceptions psycho-pédagogiques et modalités dapplication, in Allal, L., Cardinet, J. et Perrenoud, Ph. (dir.) Lévaluation formative dans un enseignement différencié, Berne, Lang, p. 130-156, 5e éd.
Allal L. [1991], Vers une pratique de lévaluation formative, Bruxelles, De Boeck,
Allal L. [1993], " Régulations métacognitives : quelle place pour lélève dans lévaluation formative ", in Allal L., Bain D. et Perrenoud Ph. (dir.) Evaluation formative et didactique du français, Neuchâtel et Paris, Delachaux et Niestlé, p. 81-98.
Allal L. [1995], Un détour peut-il être un raccourci ? Quelques conclusions-clés des recherches américaines sur les écoles "sans degrés", Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation.
Allal L., Bain D. et Perrenoud Ph. (dir.) [1993], Évaluation formative et didactique du français, Neuchâtel et Paris, Delachaux et Niestlé.
Allal L., Cardinet J. et Perrenoud Ph. (dir.) [1989], Lévaluation formative dans un enseignement différencié, Berne, Lang, 5e éd.
Allal L. et Saada Robert M. [1992], " La métacognition : cadre conceptuel pour létude des régulations en situation scolaire ", Archives de psychologie, 60, p. 265-296.
Allal L. et Schubauer M.-L. [1992], " Progression scolaire des élèves : le redoublement dans le contexte genevois ", Recherche en éducation : Théories et Pratiques, n° 11-12, p. 41-52.
Altet M. [1994], La formation professionnelle des enseignants, Paris, Presses Universitaires de France.
Althusser L. [1970], Idéologies et appareils idéologiques dÉtat, La Pensée, n° 151, p. 3-38.
Argyris C. [1995], Savoir pour agir, Paris, Interéditions.
Ariès Ph. [1973], Lenfant et la vie familiale sous lAncien Régime, Paris, Le Seuil.
Arsac G., Chevallard Y., Martinand J.-L. et Tiberghien A. (dir.) [1994], La transposition didactique à lépreuve, Grenoble, La Pensée sauvage Éditions.
Astolfi J.-P. [1992], Lécole pour apprendre, Paris, ESF.
Astolfi J.-P. [1996], " Mettre lélève au centre, oui, mais au centre de quoi ? ", in Sens du travail scolaire et construction des savoirs : quelle place pour les enseignants ? quelle place pour les élèves ? Actes du Forum 1995 de lenseignement primaire, Genève, Département de linstruction publique, p. 11-32.
Astolfi J.-P. [1996], Lerreur, un outil pour enseigner, Paris, ESF.
Astolfi J.-P. et Develay M. [1996], La didactique des sciences, Paris, Presses Universitaires de France, Coll. " Que sais-je ? ".
Astolfi J.-P., Darot É, Ginsburger-Vogel Y. et Toussaint J. [1997], Mots-clés de la didactique des sciences. Repères, définitions, bibliographies, Bruxelles, De Boeck.
Authier M. et Lévy P. [1996], Les arbres de connaissances, Paris, La Découverte.
Baeriswyl É. et Vellas É. [1994], " Le métier de lélève dans les pédagogies actives ", Journal de lenseignement primaire, n° 48, p. 26-31.
Bain D. [1980], Orientation scolaire et fonctionnement de lécole, Berne, Lang.
Bain D. [1985], Un point de vue de psychologue devant les interprétations sociologique de léchec scolaire, in Plaisance, É. (dir.) : "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, CNRS, p. 165-177.
Bain D. [1988], Pour une formation à lévaluation formative intégrée à la didactique, in Gather Thurler M. et Perrenoud Ph. (dir.), Savoir évaluer pour mieux enseigner. Quelle formation des maîtres ?, Genève, Service de la recherche sociologique, Cahier n° 26, p. 21-37.
Ballion R. [1982], Les consommateurs décole, Paris, Stock.
Barbier J.-M. (dir.) [1996], Savoirs théoriques et savoirs daction, Paris, Presses Universitaires de France.
Bastien C. [1997], Les connaissances de lenfant à ladulte, Paris, Armand Colin.
Baudelot C. et Establet R. [1971], Lécole capitaliste en France, Paris, Maspéro.
Baudelot C. et Establet R. [1989], Le niveau monte. Réfutation dune vieille idée concernant la prétendue décadence de nos écoles, Paris, Le Seuil.
Bautier E., Berbaum J. et Meirieu Ph. (dir.) [1993], Individualiser les parcours de formation, Lyon, Association des enseignants-chercheurs en sciences de léducation (AESCE).
Bentolila A. (dir.) [1995], Savoirs et savoir-faire, Paris, Nathan.
Bentolila A. [1996 a], De lillettrisme en général et de lécole en particulier, Paris, Plon.
Bentolila A. (dir.) [1996 b], Lécole : diversités et cohérence, Paris, Nathan.
Bernstein B. [1971 a], On the Classification and Framing of Educational Knowledge, in Young, M. (dir.), Knowledge and Control, London, Collier and MacMillan, p. 47-70.
Bernstein B. [1971 b], Class, Codes and Control. Vol. I, Theoretical Studies towards a Sociology of Language, London, Routledge and Kegan.
Bernstein B. [1973], Class, Codes and Control. Vol. II : Applied Studies towards a Sociology of Language, London, Routledge and Kegan.
Bernstein B. [1975 a], Class, Codes and Control, Vol. III, Toward a Theory of Educational Transmissions, London, Routledge and Kegan.
Bernstein B. [1975 b], Langages et classes sociales. Codes socio-linguistiques et contrôle social, Paris, Éd. de Minuit.
Bernstein B. [1975 c], Classe et pédagogies : visibles et invisibles, Paris, OCDE.
Berthelot J.-M. [1983], Le piège scolaire, Paris, Presses Universitaires de France.
Bettelheim B. et Zelan K. [1983], La lecture et lenfant, Paris, Laffont.
Bisseret N. [1974], Les inégaux ou la sélection universitaire, Paris, Presses Universitaires de France.
Block J. and Anderson L. [1975], Mastery Learning in Classroom Instruction, New York, MacMillan.
Bloom B.S. [1972], Apprendre pour maîtriser, Lausanne, Payot.
Bloom B.S. [1976], Human Characteristics and School Learning, New York, McGraw-Hill.
Bloom B.S. [1979], Caractéristiques individuelles et apprentissages scolaires, Bruxelles, Labor, Paris, Nathan.
Bloom B.S. [1980], " Une direction nouvelle de la recherche en éducation : les variables changeables ", Éducation et Recherche, n° 3, p. 7-16.
Bloom B.S., Hastings, J.T. and Madaus, G.F. (dir.) [1971], Handbook on Formative and Summative Évaluation of Student Learning, New York, McGrawHill.
Bloom, B.S. [1975], Taxonomie des objectifs pédagogiques, Québec, Les Presses de lUniversité.
Boillot H. et Le Du M. [1994], La pédagogie du vide, Paris, Presses Universitaires de France.
Boltanski L. et Thévenot L. [1987], Les économies de la grandeur, Paris, Presses Universitaires de France.
Bonami M. et Garant M. (dir.) [1996], Systèmes scolaires et pilotage de linnovation. Émergence et implantation du changement, Bruxelles, de Boeck.
Boudinet G. [1980], Pratiques rock et échec scolaire, Paris, Presses Universitaires de France
Boudon R. [1977], Effets pervers et ordre social, Paris, Presses Universitaires de France.
Bourdieu P. [1966], " Lécole conservatrice. Linégalité sociale devant lécole et devant la culture ", Revue française de sociologie, n° 3, p. 325-347.
Bourdieu P. [1967], " Systèmes denseignement et systèmes de pensée ", Revue internationale des sciences sociales, p. 367-388.
Bourdieu P. [1972], Esquisse dune théorie de la pratique, Genève, Droz.
Bourdieu P. [1979], La distinction. Critique sociale du jugement, Paris, Éd. de Minuit.
Bourdieu P. [1980], Le sens pratique, Paris, Éd. de Minuit.
Bourdieu P. et de Saint-Martin M. [1970], " Lexcellence scolaire et les valeurs du système denseignement français ", Annales, n° 1, p. 147-175.
Bourdieu P. et de Saint-Martin M. [1975], " Les catégories de lentendement professoral ", in Actes de la recherche en sciences sociales, n° 3, p. 68-93.
Bourdieu P. et Gros F. [1989], " Principes pour une réflexion sur les contenus de lenseignement ", Le Monde de lÉducation, n° 159, avril, p. 15-18.
Bourdieu P. et Passeron J.-C. [1964], Les héritiers. Les étudiants et la culture, Paris, Éd. de Minuit.
Bourdieu P. et Passeron J.-C. [1967-1968], Lexamen dune illusion, in Revue française de sociologie, N° spécial " Sociologie de léducation ", p. 227-253.
Bourdieu P. et Passeron J.-C. [1970], La reproduction. Éléments pour une théorie du système denseignement, Paris, Éd. de Minuit.
Bourdoncle R. [1991], " La professionnalisation des enseignants : analyses sociologiques anglaises et américaines ", Revue française de pédagogie, n° 94, p. 73-92.
Bourdoncle R. [1993], " La professionnalisation des enseignants : les limites dun mythe ", Revue française de pédagogie, n° 105, p. 83-119.
Boutinet J.-P. [1993], Anthropologie du projet, Paris, Presses Universitaires de France, 2e éd.
Bronckart J.-P. et Schneuwly B. [1991], " La didactique du français langue maternelle : lémergence dune utopie indispensable ", Éducation et Recherche, 13, n° 1, p. 8-26.
Carbonneau M. [1993], " Modèles de formation et professionnalisation de lenseignement : analyse critique de tendances nord-américaines ", Revue des sciences de léducation (Montréal), vol. XIX, n° 1, p. 33-57.
Cardinet J. [1986 a], Pour apprécier le travail des élèves, Bruxelles, De Boeck.
Cardinet J. [1986 b], Évaluation scolaire et pratique, Bruxelles, De Boeck.
Cardinet J. [1988], " La maîtrise, communication réussie ", in Huberman M. (dir.), Maîtriser les processus dapprentissage. Les propositions de la pédagogie de maîtrise, Paris, Delachaux et Niestlé, p. 155-195.
Carroll J. [1963], " A model of school learning ", Teachers College Record, n° 64, p. 723-733.
Carroll J. [1965], " School learning over the long haul ", in Krumboltz J. (dir.), Learning and the Educational Process, Chicago, Rand McNally.
Charlot B. [1997], Du rapport au savoir. Éléments pour une théorie, Paris, Anthropos.
Charlot B., Bautier É. et Rochex J.-Y. [1992], École et savoir dans les banlieues et ailleurs, Paris, Armand Colin.
Charlot B. et Stech S. [1996], " Processus sociaux, subjectivité et transferts ", in Meirieu Ph., Develay M,. Durand C. et Mariani Y. (dir.) Le concept de transfert de connaissances en formation initiale et en formation continue, Lyon, CRDP, p. 26-30.
Charnay R. et al. [1995], Chacun, tous différemment !, Paris, INRP, Rencontres pédagogiques n° 34.
Chartier R., Julia D. et Compère M.-M. [1976], Léducation en France du XVIe au XVIIIe siècle, Paris, Société dédition denseignement supérieur.
Cherkaoui M. [1979], Les paradoxes de la réussite scolaire, Paris, Presses Universitaires de France.
Chevalier L. [1978], Classes laborieuses et classes dangereuses, Librairie Générale Française.
Chevallard Y. [1986 a], " Les programmes et la transposition didactique. Illusions, contraintes et possibles ", Bulletin de lAMPEP, n° 352, février, p. 32-50.
Chevallard Y. [1986 b], " Vers une analyse didactique des faits dévaluation ", in De Ketele J.-M. : Lévaluation : approche descriptive ou prescriptive ?, Bruxelles, De Boeck, p. 31-59.
Chevallard Y. [1991], La transposition didactique. Du savoir savant au savoir enseigné, Grenoble, La Pensée Sauvage (2e éd. revue et augmentée, en coll. avec Marie-Alberte Joshua).
Chomsky N. [1969], La linguistique cartésienne, Paris, Le Seuil.
Chomsky N. [1969], Structures syntaxiques, Paris, Le Seuil.
Chomsky N. [1971], Aspects de la théorie syntaxique, Paris, Le Seuil.
Chomsky N. [1977], Réflexions sur le langage, Paris, Maspéro.
Cifali M. [1986], " Linfini éducatif : mise en perspectives ", in Fain M. et al. (dir.) Les trois métiers impossibles, Paris, Les Belles Lettres, Confluents psychanalytiques.
Cifali M. [1994], Le lien éducatif : contre-jour psychanalytique, Paris, Presses Universitaires de France.
Claparède E. [1973], Léducation fonctionnelle, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé.
Clerc F. [1992], Enseigner en modules, Paris, Hachette.
Cohen A. et Hugon M.-A. (dir.) [1996], Nouveaux lycéens, nouveaux pédagogues, Paris, LHarmattan
Collège de France [1985], Propositions pour lenseignement de lavenir, Paris, Collège de France.
Commission "Égalisation des chances" [1978], De légalité des chances à légalité des niveaux de formation, Genève, Département de linstruction publique.
Crahay M. [1986], " Évaluation formative et théorie constructiviste du développement ", in De Ketele, J.-M. (dir.), Lévaluation : approche descriptive ou prescriptive ?, Bruxelles, De Boeck, p. 135-157.
Crahay M. [1996], Peut-on lutter contre léchec scolaire ?, Bruxelles, De Boeck.
CRESAS [1978], Le handicap socio-culturel en question, Paris, ESF éditeur.
CRESAS [1981], Léchec scolaire nest pas une fatalité, Paris, ESF éditeur.
CRESAS [1987], On napprend pas tout seul ! Interactions sociales et construction des connaissances, Paris, ESF éditeur.
CRESAS [1991], Naissance dune pédagogie interactive, Paris, ESF éditeur.
Cros F. et Adamczewski G. (dir.) [1996], Linnovation en éducation et en formation, Bruxelles, De Boeck.
Crozier M. et Friedberg E. [1977], Lacteur et le système, Paris, Le Seuil.
Crozier M. [1996], La crise de lintelligence, Paris, InterEditions.
De Ketele J.-M. (dir.) [1986], Lévaluation : approche descriptive ou prescriptive ?, Bruxelles, De Boeck.
Delannoy C. [1994], Une mémoire pour apprendre, Paris, Hachette.
Delannoy C. [1997], La motivation. Désir de savoir, décision dapprendre, Paris, Hachette.
Delamont S. [1976], Interaction in the classroom, London, Methuen.
De Landsheere, V. [1984 a], 500 questions dexamen en français. 1ère année primaire, Liège, Laboratoire de pédagogie expérimentale de lUniversité de Liège.
De Landsheere, V. [1984 b], 650 questions dexamen en français. 2ère année primaire, Liège, Laboratoire de pédagogie expérimentale de lUniversité de Liège.
De Landsheere, V. et De Landsheere, G. [1978], Définir les objectifs de léducation, Paris, Presses Universitaires de France.
Demailly L. [1991], Le Collège : crise, mythes, métiers, Lille, Presses universitaires de Lille.
Derouet J.L. [1992], Ecole et justice. De légalité des chances aux compromis locaux, Paris, Métailié.
Develay M. [1992], De lapprentissage à lenseignement, Paris, ESF.
Develay M. (dir.) [1995], Savoirs scolaires et didactiques des disciplines, Paris, ESF.
Develay M. [1996], Donner du sens à lécole, Paris, ESF.
De Vecchi G. [1992], Aider les élèves à apprendre, Paris, Hachette
De Vecchi G. et Carmona-Magnaldi N. [1996], Faire construire des savoirs, Paris, Hachette
Dominicé P. [1990], Lhistoire de vie comme processus de formation, Paris, LHarmattan.
Dottrens R. [1971], Lenseignement individualisé, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé.
Dubet F. [1991], Les lycéens, Paris, Le Seuil.
Dubet F. [1994], Sociologie de lexpérience, Paris, Le Seuil.
Dubet F. et Martuccelli D. [1996], À lécole. Sociologie de lexpérience scolaire, Paris, Le Seuil.
Duneton C. [1978], Parler croquant, Paris, Stock + Plus.
Duru-Bellat M. [1989 a], LEcole des filles. Quelles formations pour quels rôles sociaux ?, Paris. LHarmattan.
Duru-Bellat M. [1989 b], Le fonctionnement de lorientation. Genèse des inégalités sociales à lécole, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé.
Duru-Bellat M., Jarousse J.-P. et Mingat A. [1993], " Les scolarités de la maternelle au lycée, Étapes et processus dans la production des inégalités sociales ", Revue française de sociologie, XXXIV, n° 1, p. 43-60.
Duru-Bellat M. et Leroy-Audouin C. [1990], " Les pratiques pédagogiques au CP ", Revue française de pédagogie, n° 93, p. 5-16.
Duru-Bellat M. et Mingat A. [1993], Pour une approche analytique du fonctionnement du système éducatif, Paris, PUF.
Durand M. [1996], Lenseignement en milieu scolaire, Paris, Presses Universitaires de France.
Elias N. [1973], La civilisation des moeurs, Paris, Calmann-Levy.
Étienne R. et al. [1992], Le projet personnel de lélève, Paris, Hachette.
Fauroux R et Chacornac G. [1996], Pour lécole, Paris, La Documentation française.
Favre B. et Perrenoud Ph. [1985], Organisation du curriculum et différenciation de lenseignement, in Plaisance É. (dir.), "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, Éd. du CNRS, p. 55-73.
Forquin J. -C. [1982], " Lapproche sociologique de la réussite et de léchec scolaires : inégalités de réussite scolaire et appartenance sociale I ", Revue française de pédagogie, n° 59, p. 52-750.
Forquin J.-C. [1979 a], " La sociologie des inégalités déducation : principales orientations, principaux résultats depuis 1965. I ", Revue française de pédagogie, n° 48, p. 90-100.
Forquin J.-C. [1979 b], " La sociologie des inégalités déducation : principales orientations, principaux résultats depuis 1965 II ", Revue française de pédagogie, n° 49, p. 87-99.
Forquin J.- C. [1980], " La sociologie des inégalités déducation : principales orientations, principaux résultats depuis 1965 III ", Revue française de pédagogie, n° 51, p. 77-92.
Foucault M. [1975], Surveiller et punir. Naissance de la prison, Paris, Gallimard.
Fragnière J.-P. et Vuille M. (dir.) [1982], Assister, éduquer et soigner, Éd. Réalités sociales, Lausanne, 1982.
Friedberg E. [1993], Le pouvoir et la règle, Paris, Le Seuil.
Fullan M.G. and Stiegelbauer S. [1991], The New Meaning of Change, New York and London, Teachers College Press and Columbia University, 2nd edition.
Garcia J.-F. [1994], LEcole unique en France, Paris, PUF.
Gather Thurler M. [1992], Les dynamiques de changement internes aux systèmes éducatifs : comment les praticiens réfléchissent à leurs pratiques, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation.
Gather Thurler M. [1993 a], " Amener les enseignants vers une construction active du changement. Pour une nouvelle conception de la gestion de linnovation ", Éducation et Recherche, n° 2, p. 218-235.
Gather Thurler M. [1993 b], " Renouveau pédagogique et responsabilités de la direction de létablissement ", in Actes du Colloque franco-suisse de lAFIDES, Le directeur/la directrice détablissement scolaire et le renouveau pédagogique, Morges (Suisse).
Gather Thurler M. [1994 a], " Lefficacité des établissements ne se mesure pas : elle se construit, se négocie, se pratique et se vit ", dans Crahay M. (dir.) Problématique et méthodologie de lévaluation des établissements de formation, Bruxelles, De Boeck, p. 203-224.
Gather Thurler M. [1994 b], " Relations professionnelles et culture des établissements scolaires : au-delà du culte de lindividualisme ? ", Revue française de pédagogie, octobre-novembre, n° 109, p. 19-39.
Gather Thurler M. [1996 a], " Innovation et coopération entre enseignants : liens et limites ", in Bonami M. et Garant M. (dir.), Systèmes scolaires et pilotage de linnovation. Émergence et implantation du changement, Bruxelles, de Boeck, p. 145-168.
Gather Thurler M. [1996 b], Les écoles en innovation : passer de lactivisme à la méthode, Genève, Groupe de recherche et dinnovation.
Gather Thurler M. et Perrenoud Ph. (dir.) [1988], Savoir évaluer pour mieux enseigner. Quelle formation des maîtres ?, Genève, Service de la recherche sociologique, Cahier n° 26.
Gather Thurler M. et Perrenoud Ph. [1990], " Lécole apprend si elle sen donne le droit, sen croit capable et sorganise dans ce sens ! ", in Société Suisse de Recherche en Éducation (SSRE), Linstitution scolaire est-elle capable dapprendre ?, Lucerne, Zentralschweizerischer Beratungsdienst für Schulfragen, p. 75-92.
Giolitto P. [1983], Histoire de lenseignement primaire au XIXe siècle. Lorganisation pédagogique, Paris, Nathan.
Goffmann E. [1968], Asiles. Études sur la condition sociale des malades mentaux, Paris, Éd. de Minuit.
Goumaz G. [1992], Enseignants-enseignés, une estime réciproque, Perly-Genève, Ed. des Sables.
Grangeat M. [1997], Différenciation, évaluation et métacognition dans lactivité pédagogique à lécole et au collège, Lyon, Université Lumière Lyon 2 (thèse).
Grisay A. [1988], " La pédagogie de maîtrise face aux rationalités inégalitaires des systèmes denseignement ", in Huberman M. (dir.) Maîtriser les processus dapprentissage. Fondements et perspectives de la pédagogie de maîtrise, Paris, Delachaux et Niestlé, p. 235-265.
Groupe français déducation nouvelle [1977], Réussir à lécole. "Pédagogie de soutien" ou soutien de la pédagogie ?, Paris, Éd. Sociales.
Groupe français déducation nouvelle [1996], Construire ses savoirs, Construire sa citoyenneté. De lécole à la cité, Lyon, Chronique sociale.
Groupe RAPSODIE [1979], " Prévenir les inégalités scolaires par une pédagogie différenciée : à propos dune recherche-action dans lenseignement primaire genevois ", in Allal L., Cardinet J. et Perrenoud Ph. (dir.), Lévaluation formative dans un enseignement différencié, Berne, Lang, p. 68-108.
Hadorn R. [1985 b], " La lutte contre léchec scolaire et les autres enjeux de la recherche-action RAPSODIE ", in Plaisance É. (dir.) "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, CNRS, p. 43-51
Hall E.T. [1971], La dimension cachée, Paris, Le Seuil.
Hameline D. [1979], Les objectifs pédagogiques en formation initiale et en formation continue, Paris, ESF éditeur.
Haramein A., Hutmacher W. et Perrenoud Ph. [1979], " Vers une action pédagogique égalitaire : pluralisme des contenus et différenciation des interventions ", Revue des sciences de léducation (Québec), n° 2, p. 227-270.
Haramein A. et Perrenoud Ph. [1981], "RAPSODIE", une recherche-action [1999], du projet à lacteur collectif, Revue européenne des sciences sociales, n° 59, p. 175-231.
Hargreaves A. and Fullan M.G. (dir.) [1992], Understanding Teacher Development, New York, Cassell & Teachers College Press.
Huberman M. (dir.) [1988 a], Maîtriser les processus dapprentissage. Fondements et perspectives de la pédagogie de maîtrise, Paris, Delachaux et Niestlé.
Huberman M. [1988 b], " La pédagogie de maîtrise : idées-force, analyses, bilans ", in Huberman M. (dir.), Maîtriser les processus dapprentissage. Fondements et perspectives de la pédagogie de maîtrise, Paris, Delachaux et Niestlé, p. 12-44.
Huberman M. and Miles M. [1984], Innovation up close : How School Improvement works. New York : Plenum.
Hutin R. [1979], Des chances pour tous Etude des problèmes relatifs à linégalité des chances de réussite scolaire, Genève, Service de la recherche pédagogique, Cahier n° 18.
Hutmacher W. [1985], " Enjeux autour de lécole dans une collectivité de type post-industriel ", in Plaisance É. (dir.) "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, CNRS, p. 29-42.
Hutmacher W. [1987 a], " Enjeux culturels dans les politiques éducatives : une rétrospective ", in CERI/OCDE, Léducation multiculturelle, Paris, p. 356-375.
Hutmacher W. [1987 b], " Le passeport ou la position sociale ? ", in CERI/OCDE, Les enfants de migrants à lécole, Paris, p. 228-256.
Hutmacher W. [1990], Lécole dans tous ses états. Des politiques de systèmes aux stratégies détablissement, Genève, Service de la recherche sociologique.
Hutmacher W. [1992], " Lécole a besoin de léchec ", in Fragnière, J.-P. et Compagnon A. (dir.) Echec scolaire et illettrisme, Lausanne, Ecole détudes sociales et pédagogiques (EESP), Cahier n° 14.
Hutmacher W. [1993], Quand la réalité résiste à la lutte contre léchec scolaire. Analyse du redoublement dans lenseignement primaire genevois, Genève, Service de la recherche sociologique, 1993, Cahier n° 36.
Illich I. [1971], Une société sans école, Paris, Le Seuil.
Imbert F. [1994], Médiations, institutions et loi dans la classe, Paris, ESF éditeur.
Imbert F. [1996], Linconscient dans la classe, Paris, ESF éditeur.
Isambert-Jamati V. [1973], " Les "handicaps socio-culturels" et leurs remèdes pédagogiques ", Lorientation scolaire et professionnelle, n° 4, p. 303-318.
Isambert-Jamati V. [1984], Culture technique et critique sociale à lécole élémentaire, Paris, Presses Universitaires de France.
Isambert-Jamati V. [1985], " Quelques rappels de lémergence de léchec scolaire comme "problème social" dans les milieux pédagogiques français ", in Plaisance É. (dir.), "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, Éd. du CNRS, p. 155-163 (repris in Pierrehumbert B. (dir.), Léchec à lécole : échec de lécole, Paris, Delachaux et Niestlé, 1992).
Isambert-Jamati V. [1990], Les savoirs scolaires, Paris, Éditions universitaires.
Isambert-Jamati V. et Grospiron M.-F. [1985], Types de pratiques pédagogiques en français au lycée et différenciation sociale des résultats scolaires, in Plaisance, É. (dir.) "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, CNRS.
Jackson Ph. W. [1968], Life in Classrooms, New York, Holt, Rinehart and Winston.
Jacquard A. [1978], Éloge de la différence. La génétique et les hommes, Paris, Seuil.
Josso Ch. [1991], Cheminer vers soi, Lausanne, LAge dHomme.
Labaree D.F. [1992], " Power, Knowledge and the Rationalization of Teaching : À Genealogy of the Movement to Professionalize Teaching ", Harvard Educational Review, (62), n° 2, p. 123-154.
Labov W. [1978], Le parler ordinaire, Paris, Minuit, 2 vol.
Lahire B. [1993], Culture écrite et inégalités scolaires, Lyon, Presses universitaires de Lyon.
Lahire B. [1995], Tableaux de famille. Echecs et réussites scolaires en milieu populaire, Paris, Gallimard-Le Seuil.
Laliberté J. [1995], " Alverno : une réforme pédagogique riche denseignements ", in Goulet J.-P. (dir.) Enseigner au collégial, Montréal, Association québecoise de pédagogie collégiale, p. 137-144.
Langouet G. [1985], Suffit-il dinnover ?, Paris, Presses Universitaires de France.
Lautrey J. [1980], Classe sociale, milieu familial, intelligence, Paris, Presses Universitaires de France.
Le Boterf G. [1994], De la compétence. Essai sur un attracteur étrange, Paris, Les Éditions dorganisation.
Le Boterf G. [1997], De la compétence à la navigation professionnelle, Paris, Les Editions dorganisation.
Legrand, A. [1994], Le système E. Lécole de réformes en projets, Paris, Denoël
Legrand L. [1977], Pour une politique démocratique de léducation, Paris, Presses Universitaires de France.
Legrand L. [1982], Pour un collège démocratique, Paris, La Documentation française.
Legrand L. [1986], La différenciation pédagogique. Paris, Éd. du Scarabée.
Legrand L. [1996], Les différenciations de la pédagogie. Paris, Presses Universitaires de France.
Lelièvre C. [1990], Histoire des institutions scolaires, Paris, Nathan.
Lessard C., Perron M. et Bélanger P.W. (dir.) [1993], La professionnalisation de lenseignement et de la formation des enseignants, numéro thématique de la Revue des sciences de léducation (Montréal), vol. XIX, n° 1.
Little A. et Smith G. [1971], Stratégies de compensation : panorama des projets denseignement pour les groupes défavorisés aux États-Unis, Paris, OCDE.
Lundgren U.P. [1972], Frame Factors and the Teaching Process. À contribution to Curriculum Theory and Theory of Teaching, Stockholm, Almqvist and Wiksell.
Lundgren U.P. [1974], Pedagogical Roles in the Classroom, in Eggleston J. (dir.), Contemporary Research in the Sociology of Education, London, Methuen, p. 200-214.
Lundgren U.P. [1977], Model Analysis of Pedagogical Processes. Studies in Curriculum Theory and Cultural Reproduction 2 from Stockholm Institute of Education, Lund, CKW Gleerup.
Lundgren U.P. and Pettersson S. [1979], Code, Context and Curriculum Processes, Stockholm, Stockholm Institute of Education.
Lurçat L. [1976], Léchec et le désintérêt scolaire à lécole primaire, Paris, Cerf.
Maison des Trois Espaces [1993], Apprendre ensemble, apprendre en cycles, Paris, ESF éditeur
Martinand J.-L. [1986], Connaître et transformer la matière, Berne, Lang.
Mehan H. [1992], " Undestanding Inequality in Schools : The Contribution of Interpretive Studies ", Sociology of Education, vol. 65, janvier, p. 1-20.
Meirieu Ph. [1989 a], Itinéraires des pédagogies de groupe. Apprendre en groupe ? I, Lyon, Chroniques sociales, 3e éd.
Meirieu Ph. [1989 b], Outils pour apprendre en groupe. Apprendre en groupe ? II, Lyon, Chroniques sociales, 3e éd.
Meirieu Ph. [1989 c], Apprendre oui, mais comment ?, Paris, ESF, 4e éd.
Meirieu Ph. [1990 a], Enseigner, scénario pour un métier nouveau, Paris, ESF.
Meirieu Ph. [1990 b], Lécole, mode demploi. Des méthodes actives à la pédagogie différenciée, Paris, ESF, 5e éd.
Meirieu Ph. [1991], Le choix déduquer. Ethique et pédagogie, Paris, ESF.
Meirieu Ph. [1995 a], " Différencier, cest possible et ça peut rapporter gros ", in Vers le changement espoirs et craintes. Actes du premier Forum sur la rénovation de lenseignement primaire, Genève, Département de linstruction publique, p. 11-41.
Meirieu Ph. [1995 b], La pédagogie entre le dire et le faire, Paris, ESF.
Meirieu Ph. [1996 a], " La pédagogie différenciée : enfermement ou ouverture ? ", in Bentolila A. (dir.) Lécole : diversités et cohérence, Paris, Nathan, p. 109-149.
Meirieu Ph. [1996 b], Frankenstein pédagogue, Paris, ESF.
Meirieu Ph., Develay M., Durand C. et Mariani Y. (dir.) [1996], Le concept de transfert de connaissance en formation initiale et continue, Lyon, CRDP.
Meirieu Ph., Rouche, N. et 40 enseignants [1987], Réussir à lécole. Des enseignants relèvent le défi, Bruxelles, Vie Ouvrière Édition.
Meirieu Ph. et Guiraud M. [1997], Lécole ou la guerre civile, Paris, Plon.
Mendelsohn P. [1995], " Peut-on vraiment opposer savoirs et savoir-faire quand on parle dapprentissage ? ", in Bentolila A. (dir.) Savoirs et savoir-faire, Paris, Nathan, p. 9-40.
Mendelsohn P. [1996], " Le concept de transfert ", in Meirieu Ph., Develay, M., Durand C. et Mariani Y. (dir.) Le concept de transfert de connaissances en formation initiale et en formation continue, Lyon, CRDP, p. 11-20.
Milner, J.-C. [1984], De lécole, Paris, Le Seuil.
Mollo S. [1986], La sélection implicite à lécole, Paris, Presses Universitaires de France.
Montandon C. [1987], " Pratiques éducatives, relations avec lécole et paradigme familial ", in Montandon C. et Perrenoud Ph. (dir.) Entre parents et enseignants : un dialogue impossible ?, Berne, Lang.
Morin E. [1977], La méthode. Tome I La nature de la nature, Paris, Le Seuil.
Nunziati G. [1990], " Pour construire un dispositif dévaluation formatrice ", Cahiers pédagogiques, n° 280, p. 47-64.
Obin J.-P. [1993], La crise de lorganisation scolaire, Paris, Hachette.
Oury F. et Pain J. [1972], Chronique de lécole-caserne, Paris, Maspéro.
Passeron J.-C. [1982], " Linflation des diplômes ", Revue française de sociologie, XXIII, n° 4, p. 551-584.
Paul J.-J. [1996], Le redoublement : pour ou contre ?, Paris, ESF.
Paquay L. [1994], " Vers un référentiel des compétences professionnelles de lenseignant ? ", Recherche et Formation, n° 16, p. 7-38.
Paquay L., Altet M., Charlier E. et Perrenoud Ph. (dir.) [1996], Former des enseignants professionnels. Quelles stratégies ? Quelles compétences ?, Bruxelles, de Boeck.
Pennac D. [1991], Comme un roman, Paris, Gallimard
Perrenoud Ph. [1970], Stratification socio-culturelle et réussite scolaire. Les défaillances de lexplication causale, Genève, Droz.
Perrenoud Ph. [1978], " Les politiques de démocratisation de lenseignement et leurs fondements idéologiques ", Revue suisse de sociologie, n° 1, p. 129-179.
Perrenoud Ph. [1982], " Linégalité quotidienne devant le système denseignement. Laction pédagogique et la différence ", Revue européenne des sciences sociales, n° 63, p. 87-142 (repris dans Perrenoud, Ph., La pédagogie à lécole des différences, Paris, ESF éditeur, 1996, chapitre 2, p. 59-105).
Perrenoud Ph. [1983], " La pratique pédagogique entre limprovisation réglée et le bricolage ", Éducation et Recherche, n° 2, p. 198-212 (repris dans Perrenoud Ph., La formation des enseignants entre théorie et pratique, Paris, LHarmattan, 1994, chapitre I, p. 21-41).
Perrenoud Ph. [1985 a], " La place dune sociologie de lévaluation dans lexplication de léchec scolaire et des inégalités devant lécole ", Revue européenne de sciences sociales, n° 70, p. 165-186.
Perrenoud Ph. [1985 b], " Scolarisation et sens des savoirs. Réflexions sur lobsession dinstruire la jeunesse ", " Revue suisse de sociologie ", n° 2, p. 213-226 (repris dans Perrenoud Ph., Métier délève et sens du travail scolaire, Paris, ESF éditeur, 1995, chapitre 3, p. 63-74).
Perrenoud Ph. [1986], " De quoi la réussite scolaire est-elle faite ? ", Éducation et Recherche, n° 1, p. 133-160.
Perrenoud Ph. [1987], " De lécole active à lécole interactive : un nouveau mythe ? ", in CRESAS, On napprend pas tout seul ! Interactions sociales et construction des connaissances, Paris, ESF éditeur, p. 139-148.
Perrenoud Ph. [1988 a], " La pédagogie de maîtrise, une utopie rationaliste ? ", in Huberman M. (dir.), Maîtriser les processus dapprentissage. Fondements et perspectives de la pédagogie de maîtrise, Paris, Delachaux et Niestlé, p. 198-233 (repris dans Perrenoud Ph., Enseigner : agir dans lurgence, décider dans lincertitude. Savoirs et compétences dans un métier complexe, Paris, ESF éditeur, 1996, p. 87-108).
Perrenoud Ph. [1988 b], " Échec scolaire : recherche-action et sociologie de lintervention dans un établissement ", Revue suisse de sociologie, n° 3, p. 471-493.
Perrenoud Ph. [1988 c], " Nouvelles didactiques et stratégies des élèves face au travail scolaire ", in Perrenoud Ph. et Montandon, Cl. (dir.), Qui maîtrise lécole ? Politiques dinstitutions et pratiques des acteurs, Lausanne, Réalités sociales, p. 175-195 (repris dans Perrenoud Ph., Métier délève et sens du travail scolaire, Paris, ESF éditeur, 1995, chapitre 5, p. 99-114).
Perrenoud Ph. [1988 d], " Parle comme il faut ! Réflexions sociologiques sur lordre linguistique ", in Schoeni G., Bronckart J.-P. et Perrenoud Ph. (dir.) La langue française est-elle gouvernable ? Normes et activités langagières, Neuchâtel et Paris, Delachaux et Niestlé, p. 79-108.
Perrenoud Ph. [1989 a], " Des différences culturelles aux inégalités scolaires : lévaluation et la norme dans un enseignement indifférencié ", in Allal, L., Cardinet J. et Perrenoud Ph. (dir.), Lévaluation formative dans un enseignement différencié, Berne, Lang, p. 20-55, 5e éd.
Perrenoud Ph. [1989 b], " La triple fabrication de léchec scolaire ", Psychologie française, n° 34-4, p. 237-245.
Perrenoud Ph. [1990 a], " Lindispensable et impossible allégement des programmes ", in Perret J.-F. et Perrenoud Ph. (dir.) Qui définit le curriculum, pour qui ? Autour de la reformulation des programmes de lécole primaire en Suisse romande, Cousset (Fribourg), Delval, p. 97-109.
Perrenoud Ph. [1990 b], La formation équilibrée des élèves, chimère ou changement du troisième type ?, C.O. Informations (Genève), n° 8, novembre, p. 16-41.
Perrenoud Ph. [1991 a], " Ambiguïtés et paradoxes de la communication en classe. Toute interaction ne contribue pas à la régulation des apprentissages ", in Weiss J. (dir.) Lévaluation : problème de communication, Cousset, DelVal-IRDP, p. 9-33.
Perrenoud Ph. [1991 b], Diversifier le curriculum et les formes dexcellence à lécole primaire, une stratégie de démocratisation ?, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation.
Perrenoud Ph. [1991 c], " Pour une approche pragmatique de lévaluation formative ", Mesure et évaluation en éducation, vol. 13. n° 4, p. 49-81.
Perrenoud Ph. [1991 d], " Bouche cousue ou langue bien pendue ? Lécole entre deux pédagogies de loral ", in Wirthner M., D. Martin et Perrenoud Ph. (dir.) Parole étouffée, parole libérée. Fondements et limites dune pédagogie de loral, Neuchâtel et Paris, Delachaux et Niestlé, p. 15-40.
Perrenoud Ph. [1991 e], Le soutien pédagogique, une réponse à léchec scolaire ?, Genève, Service de la recherche sociologique et Faculté de psychologie et des sciences de léducation.
Perrenoud Ph. [1991 f], Du soutien pédagogique à une vraie différenciation de lenseignement : évolution ou rupture ?, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation, (paru en italien " Dal sostegno pedagogigo a una vera differenziazione dellinsegnamento : evoluzione o rottura ? ", Scuola Ticinese, Settembre 1992, n° 180, p. 3-9),
Perrenoud Ph. [1992 a], " Différenciation de lenseignement : résistances, deuils et paradoxes ", Cahiers pédagogiques, n° 306, p. 49-55 (repris dans Perrenoud Ph., La pédagogie à lécole des différences, Paris, ESF éditeur, 1996, chapitre 4, p. 119-128).
Perrenoud Ph. [1992 b], " La triple fabrication de léchec scolaire ", in Pierrehumbert B. (dir.), Léchec à lécole : échec de lécole, Paris, Delachaux et Niestlé, p. 85-102.
Perrenoud Ph. [1992 c], Les procédures ordinaires dévaluation, freins au changement des pratiques pédagogiques, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation.
Perrenoud Ph. [1993 a], " Organiser lindividualisation des parcours de formation : peurs à dépasser et maîtrises à construire ", in Bautier E., Berbaum J. et Meirieu Ph. (dir.), Individualiser les parcours de formation, Lyon, Association des enseignants-chercheurs en sciences de léducation (AESCE), p. 145-182 (repris dans Perrenoud Ph., La pédagogie à lécole des différences, Paris, ESF éditeur, 1995, chapitre 5, p. 129-155).
Perrenoud Ph. [1993 b], " Lorganisation, lefficacité et le changement, réalités construites par les acteurs ", Éducation et Recherche, n° 2, p. 197-217.
Perrenoud Ph. [1993 c], " Touche pas à mon évaluation ! Pour une approche systémique du changement pédagogique ", Mesure et évaluation en éducation, vol. 16, nos 1-2, p. 107-132.
Perrenoud Ph. [1993 d], " Vers des démarches didactiques favorisant une régulation individualisée des apprentissages ", in Allal L., Bain D. et Perrenoud Ph. (dir.) Evaluation formative et didactique du français, Neuchâtel et Paris, Delachaux et Niestlé, p. 31-50.
Perrenoud Ph. [1993 e], " Décloisonnement des classes et travail en équipe pédagogique ", LÉcole Valdôtaine (Aoste, Italie), n° 20, p. 3-10.
Perrenoud Ph. [1994 a], La formation des enseignants entre théorie et pratique, Paris, LHarmattan.
Perrenoud Ph. [1994 b], " Curriculum : le réel, le formel, le caché ", in Houssaye J. (dir.), La pédagogie : une encyclopédie pour aujourdhui, Paris, ESF éditeur, p. 61-76 (2e éd.).
Perrenoud Ph. [1994 c], " Cycles pédagogiques et projets décole : facile à dire ! ", Cahiers pédagogiques, n° 321-322, p. 28-33 (repris dans Perrenoud Ph., La pédagogie à lécole des différences, Paris, ESF éditeur, 1995, chapitre 6, p. 157-166).
Perrenoud Ph. [1994 d], " La communication en classe : onze dilemmes ", Cahiers pédagogiques, n° 326, p. 13-18 (repris dans Perrenoud Ph., Enseigner : agir dans lurgence, décider dans lincertitude. Savoirs et compétences dans un métier complexe, Paris, ESF éditeur, 1996, p. 53-68).
Perrenoud Ph. [1994 e], Travailler en équipe pédagogique, cest partager sa part de folie, Cahiers pédagogiques, n° 325, p. 68-71.
Perrenoud Ph. [1995 a], La fabrication de lexcellence scolaire : du curriculum aux pratiques dévaluation., Genève, Droz, 2e éd. augmentée (1re éd. 1984).
Perrenoud Ph. [1995 b], " Enseigner des savoirs ou développer des compétences : lécole entre deux paradigmes ", in Bentolila A. (dir.) Savoirs et savoir-faire, Paris, Nathan, p. 73-88.
Perrenoud Ph. [1995 c], " Des savoirs aux compétences : de quoi parle-t-on en parlant de compétences ? ", Pédagogie collégiale (Québec), Vol. 9, n° 1, p. 20-24.
Perrenoud Ph. [1995 d], " Des savoirs aux compétences : les incidences sur le métier denseignant et sur le métier délève ", Pédagogie collégiale (Québec), Vol. 9, n° 2, p. 6-10.
Perrenoud Ph. [1995 e], " Dix non-dits ou la face cachée du métier denseignant ", Recherche et Formation, n° 20, p. 107-124 (repris dans Perrenoud Ph., Enseigner : agir dans lurgence, décider dans lincertitude. Savoirs et compétences dans un métier complexe, Paris, ESF, 1996, p. 69-85).
Perrenoud Ph. [1996 a], Métier délève et sens du travail scolaire, Paris, ESF, 3e éd.
Perrenoud Ph. [1996 b], La pédagogie à lécole des différences, Paris, ESF, 2e éd.
Perrenoud Ph. [1996 c], Enseigner : agir dans lurgence, décider dans lincertitude. Savoirs et compétences dans un métier complexe, Paris, ESF.
Perrenoud Ph. [1996 d], " Linfime et lultime différence ", in Bentolila A. (dir.) Lécole : diversités et cohérence, Paris, Nathan, p. 49-67.
Perrenoud Ph. [1996 e], " En finir avec les vieux démons de lécole, est-ce si simple ? Antidote sociologique à la pensée positive ", in Des idées positives pour lécole, Actes des journées du Cinquantenaire des Cahiers pédagogiques, Paris, Hachette, p. 85-130
Perrenoud Ph. [1996 f], " Lorsque le sage montre la lune limbécile regarde le doigt. De la critique du redoublement à la lutte contre léchec scolaire ", Éduquer et Former, Théories et Pratiques, (Bruxelles), n° 5-6, juin, p. 3-30.
Perrenoud Ph. [1996 g], " Rendre lélève actif cest vite dit ! ", Migrants-Formation, n° 104, mars, p. 166-181.
Perrenoud Ph. [1996 h], " Le métier denseignant entre prolétarisation et professionnalisation : deux modèles du changement ", Perspectives, vol XXVI, n° 3.
Perrenoud Ph. [1996 i], " Le travail sur lhabitus dans la formation des enseignants. Analyse des pratiques et prise de conscience ", in Paquay L., Altet M., Charlier E. et Perrenoud Ph. (dir.), Former des enseignants professionnels. Quelles stratégies ? Quelles compétences ?, Bruxelles, de Boeck, p. 181-208.
Perrenoud Ph. [1996 j], Former les maîtres du premier degré à lUniversité : le pari genevois, in Lapierre, G. (dir.) Qui forme les enseignants en France aujourdhui ?, Grenoble, Université Pierre Mendès France, Actes des Assises de lA.R.C.U.F.E.F, pp. 75-100.
Perrenoud Ph. [1996 k], De lalternance à larticulation entre théories et pratiques dans la formation des enseignants, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation (à paraître dans les Actes du Colloque sur la formation des enseignants dans le cadre de la Troisième Biennale de lÉducation et de la Formation, Paris, 18-21 avril 1996).
Perrenoud Ph. [1997 a], " Vers des pratiques pédagogiques favorisant le transfert des acquis scolaires hors de lécole ", Pédagogie collégiale (Québec), Vol. 10, n° 3, mars, p. 5-16.
Perrenoud Ph. [1997 b], Formation continue et obligation de compétences dans le métier denseignant, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation.
Perrenoud Ph. [1997 c], Les pédagogies nouvelles en question (s), LÉducateur, n° 7, p. 28-31.
Perrenoud Ph. [1997 d], Construire des compétences dès lécole, Paris, ESF éditeur.
Perrenoud Ph. [1997 e], Lévaluation des élèves. De la fabrication de lexcellence à la régulation des apprentissages, Bruxelles, de Boeck.
Perrenoud Ph. [1997 f], Réformes scolaires et rénovations de la formation des enseignants : une introuvable synchronisation, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation (à paraître dans les Actes du Symposium du Réseau international de recherche en Éducation et Formation (REF) " Les réformes en éducation, leur impact sur lécole et sur la formation des maîtres ", Université de Montréal, 25-26 septembre 1996).
Perrenoud Ph. et Montandon C. (dir.) [1988], Qui maîtrise lécole ? Politiques des institutions et pratiques des acteurs, Lausanne, Réalités sociales.
Perret J.-F. [1985], Comprendre lécriture des nombres, Berne, Lang.
Perret J.-F. et Perrenoud Ph. (dir.) [1990], Qui définit le curriculum, pour qui ? Autour de la reformulation des programmes de lécole primaire en Suisse romande, Cousset (Fribourg), Delval.
Perret-Clermont A.-N. [1979], La construction de lintelligence dans linteraction sociale, Berne, Lang.
Petitat A. [1971], I. La carrière scolaire et ses rapports avec lorigine sociale. II. Pour une approche explicative des phénomènes scolaires, Genève, Service de la recherche sociologique, Cahier n° 6.
Petitat A. [1982], Production de lécole &endash; Production de la société, Genève, Droz.
Piaget J. [1973], Biologie et connaissance, Paris, Gallimard, Coll. " Idées ".
Piaget J. [1974], Réussir et comprendre, Paris, Presses Universitaires de France.
Pierrehumbert B. (dir.) [1992], Léchec à lécole : échec de lécole, Paris, Delachaux et Niestlé.
Pinell P. et Zafiropoulos M. [1983], Un siècle déchecs scolaires (1882-1982), Paris, Les Éditions Ouvrières.
Pini G. [1991], Effets et méfaits du discours pédagogique : échec scolaire et redoublement vus pas les enseignants, Éducation et Recherche, n° 3, p. 255-272
Plaisance E. (dir.) [1985], L"échec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, Éd. du CNRS.
Plaisance É. [1985 b], Les modèles éducatifs dans lécole maternelle française entre 1945 et 1980 à travers lanalyse de 100 rapports dinspection, in Plaisance É. (dir.) "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, CNRS.
Plaisance É. [1986], Lenfant, la maternelle, la société, Paris, Presses Universitaires de France.
Prost A. [1992], Education, société et politiques, Paris, Le Seuil.
Przesmycki H. [1991], Pédagogie différenciée, Paris, Hachette.
Ranjard P. [1984], Les enseignants persécutés, Paris, Robert Jauze.
Rey B. [1996], Les compétences transversales en question, Paris, ESF.
Rieben L. [1988], " Un point de vue constructiviste sur la pédagogie de maîtrise ", in Huberman M. (dir.), Maîtriser les processus dapprentissage. Les propositions de la pédagogie de maîtrise, Paris, Delachaux et Niestlé, p. 127-154.
Rochex J.-Y. [1995], Le sens de lexpérience scolaire, Paris, Presses Universitaires de France.
Ropé F. et Tanguy L. [1994], Savoirs et compétences. De lusage de ces notions dans lécole et lentreprise, Paris, LHarmattan.
Ropé F. [1996], Savoirs universitaires, savoirs scolaires, Paris, LHarmattan.
Rosenthal R. et Jacobson L. [1968], Pygmalion in the Classroom, New York, Holt, Rinehart et Winston.
St-Arnaud Y. [1992], Connaître par laction, Montréal, Les Presses de lUniversité de Montréal.
Saussez F. et Paquay L. [1997], La modularisation des études supérieures en perspectives, Bruxelles, Cahiers du SeGEC, n° 8, janvier.
Sauvy A. et Girard A. [1974], Vers lenseignement pour tous, Paris, Elsevier Sequoia.
Schiff M. [1982], Lintelligence gaspillée. Inégalité sociale, injustice scolaire, Paris, Seuil, 1982.
Schön D. [1994], Le praticien réflexif. À la recherche du savoir caché dans lagir professionnel, Montréal, Les Éditions Logiques.
Schön D. [1996], " À la recherche dune nouvelle épistémologie de la pratique et de ce quelle implique pour léducation des adultes ", in Barbier J.-M. (dir.) Savoirs théoriques et savoirs daction, Paris, Presses Universitaires de France, p. 201-222.
Schubauer-Leoni M.-L. [1988], Maître-élève-savoir : analyse psychosociale du jeu et des enjeux de la relation didactique, Genève, Faculté de psychologie et des sciences de léducation (thèse)
Sirota R. [1988], Lécole primaire au quotidien, Paris, Presses universitaires de France.
Stroobants M. [1993], Savoir-faire et compétences au travail. Une sociologie de la fabrication des aptitudes, Bruxelles, Éditions de lUniversité de Bruxelles.
Tardif J. [1992], Pour un enseignement stratégique, Montréal, Éditions Logiques.
Tardif J. [1996], Le transfert de compétences analysé à travers la formation de professionnels, in Meirieu Ph., Develay M, Durand C. et Mariani Y. (dir) Le concept de transfert de connaissance en formation intitiale et continue, Lyon, CRDP, p. 31-46.
Tardif J. et Meirieu Ph. [1996], " Stratégie pour favoriser le transfert des connaissances ", Vie pédagogique, n° 98, mars-avril, p. 7.
Testanière J. [1967-68], " Chahut traditionnel et chahut anomique dans lenseignement du second degré ", Revue française de sociologie, N° spécial "Sociologie de léducation", p. 17-33.
Testanière J. [1985], Les enseignants et la lutte contre léchec scolaire, in Plaisance É. (dir.) [1999], "Léchec scolaire" : Nouveaux débats, nouvelles approches sociologiques, Paris, CNRS.
Trépos J.-Y. [1992], Sociologie de la compétence professionnelle, Nancy, Presses universitaires de Nancy.
Troutot P.-Y. et Montandon C. [1988], Systèmes daction familiaux, attitudes éducatives et rapport à lécole : une mise en perspective typologique, in Perrenoud Ph. et Montandon Cl. (dir.), Qui maîtrise lécole ? Politiques dinstitutions et pratiques des acteurs, Lausanne, Réalités sociales.
Vellas E. [1996], " Donner du sens aux savoirs à lécole : pas si simple ! ", in Groupe français déducation nouvelle, Construire ses savoirs, Construire sa citoyenneté. De lécole à la cité, Lyon, Chronique sociale, p. 12-26.
Vergnaud G. [1990], " La théorie des champs conceptuels ", Recherches en Didactique des Mathématiques, vol. 10. n° 23, p. 133-170.
Vergnaud G. [1994], " Le rôle de lenseignant à la lumière des concepts de schème et de champ conceptuel ", in Artigue M. et al. (dir.) Vingt ans de didactique des mathématiques en France, Grenoble, La Pensée Sauvage, p. 177-191.
Vergnaud G. [1995], " Quelle théorie pour comprendre les relations entre savoir-faire et savoir ? ", in Bentolila A. (dir.) Savoirs et savoir-faire, Paris, Nathan, p. 5-20.
Vergnaud G. [1996], " Au fond de laction, la conceptualisation ", in Barbier J.-M. (dir.) Savoirs théoriques et savoirs daction, Paris, Presses Universitaires de France, p. 275-292.
Vermersch P. [1994], Lentretien dexplicitation, Paris, ESF.
Verret M. [1975], Le temps des études, Paris, Honoré Champion, 2 vol.
Vial M., Plaisance É. et Beauvais J. [1970], Les mauvais élèves, Paris, Presses Universitaires de France.
Vincent G. [1980], Lécole primaire française. Étude sociologique, Lyon Presses Universitaires, Paris Maison des Sciences de lHomme.
Vincent G. (dir) [1994], Léducation prisonnière de la forme scolaire, Lyon, Presses Universitaires de Lyon.
Vygotsky L.S. [1985], " Le problème de lenseignement et du développement mental ", in Schneuwly B. et Bronckart J.-P. (dir.) Vygotsky aujourdhui, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé.
Wirthner M., Martin, D. et Perrenoud Ph. (dir.) [1991], Parole étouffée, parole libérée. Fondements et limites dune pédagogie de loral, Neuchâtel et Paris, Delachaux et Niestlé.
Woods P. and Hammersley M. (dir.) [1977], School Experience, New York, St. Martin.
Woods P. [1979], The Divided School, London, Routledge and Kegan.
Woods P. [1983], Sociology and the School. An Interactionist Point of View, London, Routledge and Kegan.
Young M. and Whitty G. [1977], Society, State and Schooling, Brighton, The Falmer Press.
Young M. (dir.) [1971], Knowledge and Control, London, Collier and MacMillan.
Zimmermann D. [1982], La sélection non-verbale à lécole, Paris, ESF.
Le résumé (quatrième de couverture) L'introduction, qui présente les divers chapitres Les références bibliographiques
|