Mobilité

University of British Columbia

ÉDOUARD ADAM

3e année de bachelor de psychologie - 2016-2017

Je suis parti pour l’année. J’ai beaucoup aimé rencontrer des canadiens et faire des randonnées dans la nature, ainsi que skier également. J’ai adoré la façon dont les classes sont disposées, c’est à dire plus petite en général avec des professeurs beaucoup plus ouverts, facilement capable de se rappeler des noms d’une centaine d’élève parfois.

Difficultés rencontrées

Parmi les difficultés rencontrées, c’est ma méthode de travail qu’il a fallut que je change, puisqu’ici il n’y a pas juste un examen final, mais nous sommes continuellement testés au travers de l’année, ce qui réduit certes le poids et le stress de l’examen final, mais rend le semestre plus sérieux. Je me suis retrouvé parfois pour la même matière avec 3 à 4 “midterms” (examens durant le semestre).

Budget

Niveau budget la résidence sur le campus a couté en tout un peu moins de 6000$ canadiens pour les deux semestres, c’est à dire de début septembre à fin avril  (7 mois). Cette expérience m’a permis de sortir de ma zone de confort et de gagner un peu plus d’indépendance en vivant sans mes parents, tout en gardant le confort de vivre en collocation avec des étudiants de mon âge.

Logement

J’ai résidé sur le campus de UBC à Fairview Crescent plus précisément, résidence que je recommande fortement pour son atmosphère un peu différente du reste du campus. Nous vivons à 5 minutes d’une forêt gigantesque (Pacific Spirit Parc), et à 15 minutes à vélo d’une plage (nudiste), où tous les étudiants vont se décontracter  (pas forcément nus). La plupart des étudiants en échange se retrouvent dans ces résidences, avec également des canadiens locaux parfois. Je me suis personnellement retrouvé avec 2 canadiens, un londonien, un suisse et un chinois. Chacun avait sa chambre mais nous avions un salon, cuisine et toilette en commu

Ce que cette expérience m'a apporté

En soit, je recommande à tout le monde de se donner les moyens de passer au moins un semestre de son bachelor, et au mieux une année à l’étranger, afin d’élargir sa perspective, de rencontrer des gens venus de partout dans le monde, mais aussi de là où on réside. Étudier en anglais et parler la langue m’a grandement permis d’améliorer mon anglais, au point ou je me sens dorénavant bilingue. 

8 mai 2017
  Témoignages