\documentclass[francais]{ensmath} \EnsMath pages 1-18 \input prtpln2 \usepackage{epsfig} \usepackage[mathscr]{eucal} % \DeclareMathAlphabet\eurm{U}{eur}{m}{n} \SetMathAlphabet\eurm{bold}{U}{eur}{b}{n} \def\eurb#1{\boldsymbol{\eurm{#1}}} % \let\dxp=\deuxpoints \def\upp#1{\leavevmode\raise.31ex\hbox{#1}} % \title[\maj{Macros de {\sl L'Enseignement Math\'ematique}}]{\maj{Instructions pour l'utilisation des macros \LaTeX \par de {\sl L'Enseignement Math\'ematique}} \footnote[-1]{\copyright\ {\sl L'Enseignement Math\'ematique\/} (Cette note a un argument n\'egatif!)}} \author[D. F. Coray]{Daniel Fran\ced{c}ois \sn{Coray}\thanks{On peut attacher une note en bas de page \`a peu pr\`es n'importe o\`u!}} \begin{document} \maketitle \begin{abstract} On explique ici comment utiliser les macros \AmS-\LaTeX\ de {\sl L'Ensei\-gnement Math\'e\-matique\/} et l'on donne quelques conseils\footnote{ Les notes en bas de page poss\`edent un argument facultatif, ce qui permet d'avoir un premier argument n\'egatif: \?footnote/{\tt {[-1]}\lb...\rb}. C'est assez utile sur la premi\`ere page d'un article. Sinon les notes sont num\'erot\'ees automatiquement. Il y a aussi \?thanks/{\tt \lb...\rb}, qui num\'erote avec des symboles particuliers.}. \end{abstract} \section{Pour commencer} Au d\'ebut du fichier, on \'ecrit typiquement: \bgroup\setupverbatim \documentclass[onenumber|egroup\footnote{Les options possibles sont: \begin{itemize}\itemindent=22mm \item[\tt onenumber\quad] Change la num\'erotation des formules: $1$, $2$, \dots, au lieu de $3.1$, $3.2$,~\dots \item[\tt plainnumbering\quad] Change la num\'erotation des th\'eor\`emes et autres \'enonc\'es: $1$, $2$, \dots, au lieu de $3.1$, $3.2$,~\dots \item[\tt francais\quad] Les noms des diff\'erents environnements sont mis en fran\ced{c}ais (=\;{\tt french}). \item[\tt deutsch\quad] Idem pour l'allemand (variante: {\tt allemand}). \item[\tt italiano\quad] Idem pour l'italien (variante: {\tt italien}). \item[\tt english\quad] Par d\'efaut (variante: {\tt anglais}). \item[\tt cmfonts\quad] Pour les auteurs qui ne disposent pas des fontes Times. \item[\tt psamsfonts\quad] Corrige certains probl\`emes de taille des caract\`eres (doubles indices, etc.) \end{itemize} Les options qui suivent sont {\it r\'eserv\'ees \`a l'Imprimeur:} \begin{itemize}\itemindent=20mm \item[\tt printer\quad] Formatages suppl\'ementaires. \item[\tt monograph\quad] Pour les monographies. \item[\tt noparens\quad] Notes en bas de page sans parenth\`ese. \end{itemize}}% \bgroup\setupverbatim,francais]{ensmath} \EnsMath pages 1-18 % % Macros de l'auteur % \def\arc#1{\overset{\frown}{\ttvvii\smash{#1}}} \def\Sp{\operatorname{Sp}} \let\phi=\varphi % \title[\maj{Macros de {\sl L'Enseignement Math\'ematique}}]{\maj{Instructions pour l'utilisation des macros \LaTeX \par de {\sl L'Enseignement Math\'ematique}} \footnote[-1]{\copyright\ {\sl L'Enseignement Math\'ematique\/} (Cette note a un argument n\'egatif!)}} \author[D. F. Coray]{Daniel Fran\ced{c}ois \sn{Coray}\thanks{On peut attacher une note en bas de page \`a peu pr\`es n'importe o\`u!}} \begin{document} \maketitle \begin{abstract} On explique ici comment utiliser les macros \LaTeX\ de {\sl L'Ensei\-gnement Math\'e\-matique\/} et l'on donne quelques conseils\footnote{ Les notes en bas de page poss\`edent un argument facultatif.}. \end{abstract} \section{Pour commencer} |egroup L'option {\tt francais} fait \'ecrire `par', et non `by', devant le nom des auteurs. Elle transforme \'egalement {\tt \?/begin\lb abstract\rb} en `{\sc R\'esum\'e}' au lieu de `{\sc Abstract}'. Il est aussi possible d'\'ecrire {\tt \?/begin\lb resume\rb}, mais dans le cas d'un mot comme `{\sc D\'efinition}', seule l'indication {\tt francais} indique l'accent aigu sur la lettre {\sc e}. Les autres langues pr\'evues sont l'allemand (\?deutsch/ ou \?allemand/) et l'italien (\?italiano/ ou \?italien/). Par d\'efaut, la langue choisie est l'anglais, mais il est aussi possible de le sp\'ecifier (\?english/ ou \?anglais/). Par exemple si l'on veut avoir un r\'esum\'e en trois langues, on peut \'ecrire: \bgroup\setupverbatim {\francais \begin{abstract} ... \end{abstract} \anglais \begin{abstract} ... \end{abstract} \allemand \begin{abstract} ... \end{abstract}}|egroup, \noindent ce qui donne:\vskip 2mm {\francais \begin{abstract} \dots \end{abstract} \anglais \begin{abstract} \dots \end{abstract} \allemand \begin{abstract} \dots \end{abstract}} \noindent mais ceci ne traduit bien entendu pas le texte \`a l'int\'erieur des crochets!%\pagebreak La forme g\'en\'erale est {\tt likeabstract}, avec un argument optionnel. Par exemple: \bgroup\setupverbatim\begin{likeabstract}[Exhaustive Summary] {...} \end{likeabstract}|egroup \noindent \'ecrit:\vskip 2mm \begin{likeabstract}[Exhaustive Summary]{\dots}\end{likeabstract} Noter l'insertion du titre et de l'auteur courants comme param\`etre facultatif de \?title/ et de \?author/. Au lieu d'utiliser \?maj/, on peut bien entendu \'ecrire directement tout en majuscules. Cela peut m\^eme \^etre indispensable si le titre contient des symboles math\'ematiques, comme $\PP^n$, qu'on ne veut pas transformer en $\PP^N$. Dans \?auteur/, noter l'emploi de \?sn/ pour indiquer le nom de famille (`surname'), qui doit \^etre mis en petites capitales. Tous ces ordres ins\`erent automatiquement les espaces verticaux corrects. Il ne faut donc jamais rien ajouter \`a cet effet, sauf en cas de n\'ecessit\'e absolue. Ce n'est que dans la phase finale que l'imprimeur peut avoir besoin de retravailler ces espaces pour ajuster une page dont la pr\'esentation serait trop insatisfaisante, mais c'est plut\^ot rare\footnote{ La premi\`ere page a beaucoup de marge de libert\'e en ce qui concerne les espacements verticaux. Malheureusement, \TeX\ la compose \`a un moment o\`u il ne sait pas encore quels avantages tirer de cette libert\'e. En fonction de la suite du texte, l'imprimeur s'aper\ced{c}oit assez souvent que les coupures entre les sections auraient \'et\'e am\'elior\'ees si la premi\`ere page avait \'et\'e maintenue plus courte. Dans ce cas, il ins\'erera un ordre \?pagebreak/ n'importe o\`u dans la ligne qui doit devenir la derni\`ere de la premi\`ere page. Assez rarement (pages peu remplies), le m\^eme traitement se justifie pour d'autres pages. }. \section{Sections, th\'eor\`emes, etc.} {\sl L'Enseignement Math\'ematique\/} distingue trois types de paragraphes, qui correspondent aux ordres \?section/ et \?subsection/ et \?subsubsection/ (avec une variante \?parag/). Tous ces ordres ins\`erent automatiquement les espaces verticaux corrects. \bgroup\setupverbatim \subsection{Exemples} |egroup \subsection{Exemples} \bgroup\setupverbatim \begin{theorem*}[37] Un th\'eor\`eme num\'erot\'e ``\`a la main''. \end{theorem*} \begin{theoreme}[Bourbaki] Un th\'eor\`eme num\'erot\'e automatiquement. \end{theoreme} \begin{theorem*}[principal \rm(Bourbaki)] Un th\'eor\`eme sans num\'ero. \end{theorem*} \begin{theorem*} Un th\'eor\`eme vraiment anonyme. \end{theorem*} \begin{liketheo}[Un cas sp\'ecial] Un th\'eor\`eme sans num\'ero et portant un nom particulier. \end{liketheo} |egroup \begin{theorem*}[37] Un th\'eor\`eme num\'erot\'e ``\`a la main''. \end{theorem*} \begin{theoreme}[Bourbaki] Un th\'eor\`eme num\'erot\'e automatiquement. \end{theoreme} \begin{theorem*}[principal \rm(Bourbaki)] Un th\'eor\`eme sans num\'ero. \end{theorem*} \begin{theorem*} Un th\'eor\`eme vraiment anonyme. \end{theorem*} \begin{liketheo}[Un cas sp\'ecial] Un th\'eor\`eme sans num\'ero et portant un nom particulier. \end{liketheo} Quant \`a \?parag/, il utilise son argument comme titre et continue sur la m\^eme ligne. \bgroup\setupverbatim \parag{2.5} Il r\'esulte du lemme de Schwarz que $\nb{a\pnt b}\le \norm{a}\pnt\norm{b}$.|egroup \vskip-3mm\penalty0 \parag{2.5} Il r\'esulte du lemme de Schwarz que $\nb{a\pnt b}\le \norm{a}\pnt\norm{b}$. \bigskip Le syst\`eme est r\'egl\'e pour \'eviter au maximum les coupures \`a des endroits inopportuns. Mais les coupures ne sont pas totalement \'evitables: ainsi certains \'enonc\'es occupent plus d'une page; il peut aussi \^etre souhaitable de commencer un \'enonc\'e sur une page paire pour le continuer sur une page impaire. Les p\'enalit\'es qui g\`erent cela sont au nombre de trois: \?smallpenalty/, \?medpenalty/ et \?bigpenalty/. Par d\'efaut, les \'enonc\'es comme {\sc Th\'eor\`eme}, etc. utilisent \?bigpenalty/, qui interdit de couper un alin\'ea. Mais des p\'enalit\'es plus basses sont appliqu\'ees \`a des ordres comme {\sc D\'efinition(s)}, {\sc Exemple(s)} et {\sc Remarque(s)}, qui contiennent parfois des alin\'eas fort longs\footnote{ Il est donc essentiel de bien utiliser correctement {\tt \?/begin\lb definition*\rb}, et non {\tt \?/begin\lb liketheo\rb [Definition]}, etc.}. \section{D\'emonstrations} L'environnement {\tt proof} \'ecrit {\it Proof\/} en anglais, {\it D\'emonstration\/} en fran\ced{c}ais, etc. Il y a aussi {\tt preuve} pour \'ecrire {\it Preuve\/}. Un argument optionnel permet d'\'ecrire {\it Proof of Theorem~5}. \bgroup\setupverbatim \begin{proof}[du th\'eor\`eme 5] Cela d\'ecoule imm\'ediatement du fait que $\pi$ est non nul.\qed \end{proof}|egroup \begin{proof}[du th\'eor\`eme 5] Cela d\'ecoule imm\'ediatement du fait que $\pi$ est non nul.\qed \end{proof} Une forme plus g\'en\'erale est {\tt likeproof}. Il peut \^etre utile de supprimer le point \`a la fin; il y a pour cela l'ordre\footnote{utilisable aussi avec d'autres ordres; en particulier avec \?parag/, etc.} \?noperiod/. \bgroup\setupverbatim \begin{likeproof}[Preuve du lemme principal|dxp\noperiod] Cela d\'ecoule imm\'ediatement du fait que $\pi$ est non nul.\qed \end{likeproof}|egroup \begin{likeproof}[Preuve du lemme principal:\noperiod] Cela d\'ecoule imm\'ediatement du fait que $\pi$ est non nul.\qed \end{likeproof} {\tt likeproof} avec un argument optionnel vide est parfois appropri\'e, pour un passage qui fonctionne comme une d\'emonstration sans \^etre introduit par un mot sp\'ecifique. Le carr\'e blanc est cod\'e \?qed/. Dans de rares cas, il peut \^etre n\'ecessaire de le mettre au bout de la ligne. Pour cela, il y a \?cqfd/. \bgroup\setupverbatim \begin{proof} Cela d\'ecoule imm\'ediatement du fait que $\pi$ est non nul.\cqfd \end{proof}|egroup \begin{proof} Cela d\'ecoule imm\'ediatement du fait que $\pi$ est non nul.\cqfd \end{proof} L'imprimeur dispose aussi de \?qedchasse/, qui fait le m\^eme travail en r\'epartissant les blancs uniform\'ement jusqu'au bout de la ligne.\qedchasse Voyez la diff\'erence\footnote{ L'imprimeur utilise aussi \?chasse/, qui aligne la fin d'un alin\'ea (y compris le texte avant un {\it display\/}) sur le bord droit de la page, et \?repousse/, qui maintient une distance d'au moins \?parindent/ entre la fin de l'alin\'ea et le bord droit de la page. Les auteurs n'ont \'evidemment pas de raison d'utiliser ces ordres tr\`es techniques, puisqu'ils n'ont souvent pas exactement les m\^emes fontes que l'imprimeur: Le r\'esultat pourrait m\^eme se r\'ev\'eler catastrophique!\chasse}: L'imprimeur dispose aussi de \?qedchasse/, qui fait le m\^eme travail en r\'epartissant les blancs uniform\'ement jusqu'au bout de la ligne.\qed \section{Alin\'eas} Vu que l'indentation n'est que de 5mm, l'ordre \?item/ fonctionne souvent assez mal: \bgroup\setupverbatim\item[(a)]|egroup\ fait p\'en\'etrer la parenth\`ese gauche dans la marge! C'est pourquoi il existe trois ordres nouveaux, \?smallitem/, \?meditem/ et \?bigitem/, qui indentent respectivement de 6, 7 et 8mm: \begin{itemize} \item[ii)] Illustration de \?item/. \item[iii)] Illustration de \?item/. \end{itemize} \bgroup\setupverbatim \smallitem{a)} Illustration de \smallitem.|egroup \smallitem{a)} Illustration de \?smallitem/\footnote{ A noter que ces ordres ins\`erent un espace vertical de 2~points avant chaque {\it item\/}; c'est l'un des rares cas o\`u il peut \^etre n\'ecessaire d'ajouter un espace vertical explicite (apr\`es le dernier {\it item\/}) si cet espace n'est pas d\'ej\`a fourni par la fin d'un \'enonc\'e, d'une page, ou toute autre situation \`a \'evaluer de cas en cas.}. \smallitem{a$\ms'$)} Illustration de \?smallitem/. (Contrairement aux autres ordres, l'aligne\-ment se fait sur le bord gauche de la page, qui est toujours respect\'e.) \smallitem{abcd)} \dots\ \`a preuve! L'environnement {\tt description} donne aussi de bons r\'esultats: \bgroup\setupverbatim \begin{description} \item[a$\ms'$)] Illustration de {\tt description}. (Contrairement aux autres ordres, l'aligne\-ment se fait sur le bord gauche de la page, qui est toujours respect\'e.) \item[abcd)] \dots\ \`a preuve! \end{description}|egroup \begin{description} \item[a$\ms'$)] Illustration de {\tt description}. (Contrairement aux autres ordres, l'aligne\-ment se fait sur le bord gauche de la page, qui est toujours respect\'e.) \item[abcd)] \dots\ \`a preuve! \end{description} \smallskip \meditem{(a)} Illustration de \?meditem/. \meditem{(a$\ms'$)} Illustration de \?meditem/. (Ici, les parenth\`eses droites sont align\'ees.) \bigitem{vi)} Illustration de \?bigitem/. \bigitem{viii)} Illustration de \?bigitem/. Une autre fa\ced{c}on de faire avantageuse consiste \`a utiliser \?itemindent/ (par exemple \?itemindent=5mm/) dans un environnement {\tt itemize}. \bgroup\setupverbatim \begin{itemize}\itemindent=8mm \item[ii)] Illustration de \itemindent. \item[iii)] Illustration de \itemindent. \end{itemize}|egroup \begin{itemize}\itemindent=8mm \item[ii)] Illustration de \?itemindent/. \item[iii)] Illustration de \?itemindent/. \end{itemize} \section{Bibliographie} Outre les ordres standard de \LaTeX\ (\?bibitem/, etc.), les ordres \AmS\TeX\ sont disponibles sous les formes suivantes: On distingue trois types de r\'ef\'erences: simples, avec \'etiquettes, ou bien num\'erot\'ees. Ces diff\'erents types sont introduits, respectivement, par \?begref/, \?begreflab/ et \?begrefnum/. Dans ce dernier cas, les num\'eros sont ins\'er\'es automatiquement. Voici des exemples: \vskip -6mm\penalty0 \begref{R\'ef\'erences simples} \ref {\sc Barbier, E.} Note sur le probl\`eme de l'aiguille. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \ref \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, II. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \ref {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970. \endref \bgroup\setupverbatim \begref{R\'ef\'erences simples} \ref {\sc Barbier, E.} Note sur le probl\`eme de l'aiguille. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \ref \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, II. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \ref {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970. \endref|egroup \remarque{}{Noter l'emploi de \?EMdash/ pour une r\'ef\'erence d'un m\^eme auteur unique, dont le nom est r\'ep\'et\'e.} \vskip -6mm\penalty0 \begreflab{R\'ef\'erences avec \'etiquettes}{1.2cm} \ref B {\sc Barbier, E.} Note sur le probl\`eme de l'aiguille. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \ref B1 \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, II. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \ref RT {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970. \endref \bgroup\setupverbatim \begreflab{R\'ef\'erences avec \'etiquettes}{1.2cm} \ref B {\sc Barbier, E.} Note sur le probl\`eme de l'aiguille. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \ref B1 \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, II. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \ref RT {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970. \endref|egroup \remarque{}{ Il faut mettre un espace \`a la fin de l'\'etiquette. Si celle-ci comporte un blanc, il faut donc le remplacer par \TIL. Mais il vaut mieux \'eviter les \'etiquettes de cette forme.} \vskip -6mm\penalty0 \begrefnum{R\'ef\'erences num\'erot\'ees} \ref {\sc Barbier, E.} Note sur le probl\`eme de l'aiguille. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \ref \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, II. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \ref {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970. \endref \bgroup\setupverbatim \begrefnum{R\'ef\'erences num\'erot\'ees} \ref {\sc Barbier, E.} Note sur le probl\`eme de l'aiguille. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \ref \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, II. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \ref {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970. \endref|egroup \remarque{}{Ici les num\'eros sont plac\'es automatiquement. Il peut \^etre n\'ecessaire d'ins\'erer exceptionnellement un num\'ero diff\'erent des autres. Il y a pour cela \?refsp/ avec deux param\`etres s\'epar\'es par un point (pour g\'erer les alignements). La num\'erotation normale repart de \?EMrefno/{\tt =xxx}.} \begrefnum{} \vskip -10mm plus -6mm minus -3mm \refsp 3.a \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, IIa. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \refsp 3.b \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, IIb. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \EMrefno=4 \ref {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970. \endref \bgroup\setupverbatim \refsp 3.a \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, IIa. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 273--286. \refsp 3.b \EMdash Note sur le probl\`eme de l'aiguille, IIb. {\it J.~Math. Pures Appl. (2)~5\/} (1860), 287--290. \EMrefno=4 \ref {\sc Rademacher, H. {\rm and} O. Toeplitz.} {\it The Enjoyment of Mathematics.} Princeton Univ. Press 1970.|egroup \section{Illustrations} Comme en \AmS\TeX, le codage des figures postscript est le suivant (mais avec \?Figure/ au lieu de \?figure/): \bgroup\setupverbatim \begfig{1.0cm}|egroup\hfill\hbox to 6cm{{\tt\%\%} donner la hauteur pr\'ecise du dessin\hfill} \bgroup\setupverbatim \largeurfig=4.4cm|egroup\hfill\hbox to 6cm{{\tt\%\%} indiquer la largeur pr\'ecise du dessin\hfill} \bgroup\setupverbatim \deplacefig=1mm|egroup\hfill\hbox to 6cm{{\tt\%\%} d\'eplacement de 1mm vers la droite\hfill} \bgroup\setupverbatim \montefig=-1mm|egroup\hfill\hbox to 6cm{{\tt\%\%} d\'eplacement de 1mm vers le bas\hfill} \bgroup\setupverbatim \figinsert{fig2.ps} \Figure0{L\'egende} \endfig|egroup \begfig{1.0cm} \largeurfig=4.4cm \deplacefig=1mm \montefig=-1mm \figinsert{fig2.ps} \Figure0{L\'egende} \endfig Pour le cas de deux figures c\^ote \`a c\^ote, \?begfig/ est remplac\'e par \?doublefig/ avec trois arguments. Le premier contient la hauteur du dessin; les deux suivants peuvent contenir les m\^emes ordres que ci-dessus: \?figinsert/, \?Figure/, etc., mais pas \?begfig/ ni \?endfig/. \bgroup\setupverbatim \doublefig{1.0cm}{\largeurfig=4.4cm\deplacefig=1mm \montefig=-2mm\figinsert{fig2.ps}\Figure1{Gauche}}% {\largeurfig=4.4cm\deplacefig=13mm\montefig=-2mm \figinsert{fig2.ps}\Figure2{Droite}}|egroup \doublefig{1.0cm}{\largeurfig=4.4cm\deplacefig=1mm\montefig=-2mm \figinsert{fig2.ps}\Figure1{Gauche}}% {\largeurfig=4.4cm\deplacefig=1mm\montefig=-2mm \figinsert{fig2.ps}\Figure2{Droite}} \remarque{}{Pour une page enti\`ere, il suffit de remplacer \?begfig/ et \?endfig/ par \bgroup\setupverbatim\begin{figure}[p]|egroup\ et \bgroup\setupverbatim\end{figure}|egroup.} \remarque{}{En fait, \?begfig/ et \?doublefig/ acceptent un argument optionnel suppl\'ementaire ({\tt [h]} pour `here' ou {\tt [t]} pour `top'): \bgroup\setupverbatim\begfig[t]{1.0cm}|egroup, etc.} \remarque{}{Le point inf\'erieur gauche de la figure devrait id\'ealement correspondre au point $(0,0)$. Mais il est aussi possible de travailler avec des figures en postcript encapsul\'e, en introduisant dans le pr\'eambule l'instruction \bgroup\setupverbatim\usepackage{epsfig}|egroup. Par exemple: \bgroup\setupverbatim \begin{figure}[h] \begin{center} \includegraphics*[height=1.2cm]{fig2.eps} \end{center} \caption{Exemple avec {\tt epsfig}} \end{figure} |egroup \begin{figure}[h] \begin{center} \includegraphics*[height=1.2cm]{fig2.eps} \end{center} \caption{Exemple avec {\tt epsfig}} \end{figure} \section{Table des mati\`eres} Le codage est le suivant: \bgroup\setupverbatim \begmat \ssec{Chapitre~5}{Instructions pour l'utilisation des macros de {\sl L'En\-sei\-gnement Math\'ematique}}\pp 61 \s{5.1} Pour commencer\pp 62 \ss{5.1.1} Pour continuer \pp 65 \ss{5.1.2} Pour continuer de mani\`ere longue et int\'eressante et tr\`es amusante \pp 68 \art Une variante longue et int\'eressante et attrayante et amusante, pour rire \pp 75 \endmat|egroup \noindent d'o\`u le r\'esultat: \begmat \ssec{Chapitre~5}{Instructions pour l'utilisation des macros de {\sl L'En\-sei\-gnement Math\'ematique}}\pp 61 \s{5.1} Pour commencer\pp 62 \ss{5.1.1} Pour continuer \pp 65 \ss{5.1.2} Pour continuer de mani\`ere longue et int\'eressante et tr\`es amusante \pp 68 \art Une variante longue et int\'eressante et attrayante et amusante, pour rire \pp 75 \endmat \section{Quelques conseils plus techniques} \subsection*{dollars:} Une erreur fr\'equente chez de nombreux auteurs est de laisser la ponctuation \`a l'int\'erieur des dollars. Cela complique singuli\`erement le travail de \TeX\ (en particulier pour les coupures de ligne). A part quelques cas simples (comme \bgroup\setupverbatim $i=1,2,3$|egroup), il faut \^etre tr\`es coh\'erent et ne pas \'ecrire des choses du genre: \bgroup\setupverbatim |qquad Si $i=5,$ on a $A\ni b,c|string;$ mais alors $A=n.$|egroup \noindent Le r\'esultat serait: \noindent \qquad\ Si $i=5,$ on a $A\ni b,c|string;$ mais alors $A=n.$ \noindent Il faut donc imp\'erativement \'ecrire: \bgroup\setupverbatim |qquad Si $i=5$, on a $A\ni b,c$|string; mais alors $A=n$.|egroup \noindent Cela produit: \noindent \qquad\ Si $i=5$, on a $A\ni b,c$; mais alors $A=n$. (Noter les subtiles diff\'erences d'espacement.) Ceci est une r\`egle absolue. L'unique exception concerne les formules entre doubles dollars pour lesquelles la ponctuation doit n\'ecessairement \^etre \`a l'int\'erieur! (Le lecteur voit-il pourquoi?) Soit dit en passant, le XX\EMraise{\sevenpol \`eme} si\`ecle se code sans dollars: \bgroup\setupverbatim XX\EMraise{\sevenpol \`eme} si\`ecle|egroup\ (ou bien \?sevenpolit/ si les lettres sup\'erieures doivent \^etre en italiques). \subsection*{\?break/ et \?nobreak/:} On conseille de ne jamais utiliser \?break/. Il vaut mieux chercher \`a emp\^echer des coupures inappropri\'ees \`a l'aide de \TIL\ ou de \?nm/ (abr\'eviation pour \?nomathbreak/), ou encore de \?*/ (tiret prot\'eg\'e en mode non-math\'ematique): \vskip-3mm\penalty0 \bgroup\setupverbatim le lemme~2 Let $B=2$. A~number ...|egroup \noindent (pour \'eviter de lire $B=2\pnt A$ au cas o\`u A deviendrait le dernier caract\`ere de la ligne!) \bgroup\setupverbatim $B=C+\nm \int f(x)\, dx$ un 2\*groupe, a $d$\*dimensional space |egroup ($B=C+\nm \int f(x)\, dx$ un 2\*groupe, a $d$\*dimensional space) \subsection*{deux points:} L'emploi de \?\dxp/ au sens d'un espace interm\'ediaire entre \?,/ et \?;/ est proscrit. Utiliser uniquement \?,/ ou \?;/ dans ce sens. En revanche, on fera syst\'ematiquement usage de \?\dxp/\ (ou de \?colon/, qui est synonyme) pour les applications d'un ensemble dans un autre: \bgroup\setupverbatim $f\|dxp A\to B$|egroup\ ou \bgroup\setupverbatim $f\colon A \to B$|egroup. Dans tous les autres cas, on se sert de ``{\tt\dxp}'' sans aucune marque d'espace avant ou apr\`es: \bgroup\setupverbatim l'index $(G|dxp|egroup{\tt H}\bgroup\setupverbatim)$|egroup Noter la diff\'erence: $$ f:A\to B \text{ (faux)},\qquad f\:A\to B \text{ (correct)},\qquad \text{l'index $(G:H)$} \text{ (correct)}. $$ \proclaim{Exception}{\rm Les adresses Internet se codent comme suit:} \removelastskip\vskip-4mm \bgroup\setupverbatim {\tt http\deuxpoints//www.unige.ch/$\ms\sim$/gif}|egroup: {\tt http\deuxpoints//www.unige.ch/$\ms\sim$/gif} \smallskip De m\^eme, on a pr\'evu \?interr/ et \?exclam/ pour les cas o\`u les espacements introduits automatiquement par nos macros poseraient un probl\`eme!\exclam\exclam \ (le codage avec trois points d'exclamation donnerait: !!!) \remarque{}{Dans le texte, les espacements avant et apr\`es deux points \'etant g\'er\'es automatiquement, il ne faut jamais \'ecrire {\tt $\ms\sim$\dxp} dans le codage.} \subsection*{points:} Pour les points de suspension, utiliser exclusivement \?dots/. En tout cas pas: {\tt ...}, qui fournit ... ! Ce n'est que dans des cas tr\`es exceptionnels que \?cdots/ ou \?ldots/ se justifient. L'exemple suivant illustre le comportement habituel de \AmS-\LaTeX; c'est un des cas o\`u justement beaucoup d'auteurs d\'esireront une typographie diff\'erente: $$ A+\dots +B\cdot C = D\dots E\,\dots \int_a^b f(x_1)\dots f(x_n)\, dx +\dots $$ (cod\'e: \bgroup\setupverbatim $$ A+\dots +B\cdot C = D\dots E\,\dots \int_a^b f(x_1)\dots f(x_n)\, dx + \dots $$|egroup). Pour les actions de groupe et autres combinaisons du m\^eme genre, utiliser \?pnt/, qui donne une bien meilleure lisibilit\'e que {\tt .} ou \?ldotp/: $$ g\pnt A = \sin\alpha \pnt \cos\beta\pnt \begin{pmatrix} a &b\\ c &d\end{pmatrix} $$ \subsection*{\?mathsurround/:} Les macros de {\sl L'Enseignement Math\'ematique\/} ins\`erent automatiquement un espace de 1~point \`a gauche et \`a droite des expressions math\'e\-ma\-tiques. Cet espace peut \^etre supprim\'e par l'ordre \?ms/, ce qui se justifie en particulier dans les cas suivants: \noindent Gel$\ms'$fand s'\'ecrit: \bgroup\setupverbatim Gel$\ms'$fand|egroup. \quad (Sans \?ms/, on obtiendrait:~Gel$'$fand.) Les fonctions $\ms C^{\EMts\EMts\EMts 0}$-diff\'erentiables s'\'ecrivent: \noindent \bgroup\setupverbatim $\ms C^{\EMts\EMts\EMts 0}$\*diff\'erentiables|egroup. \quad (Sans \?ms/, on aperce\-vrait un ``trou'' entre l'exposant $0$ et le tiret: $C^{\EMts\EMts\EMts 0}$\*diff\'erentiables.) \subsection*{Espaces:} On dispose de nombreuses variantes pour les espaces horizontaux: \hbox to \hsize{\?,/\hfill \?;/\hfill \?enspace/\hfill \?quad/\hfill \?EMquad/ (cadratin compressible)\hfill \?qquad/,~etc.} \noindent Le plus petit est \?EMts/ pour des r\'eglages tr\`es fins. Il y a aussi des espaces arri\`ere, comme \?!/; c'est ainsi que $\Hbar$ est cod\'e\footnote{Il y a aussi \?Hhat/, \?Htilde/, etc.} dans {\tt EMutil.sty}:% \bgroup\setupverbatim \def\Hbar{{\,\overline{\!H}}}|egroup \noindent (\?overline H/ ne place pas correctement la barre au-dessus du $H$: $\overline H$). Ne pas oublier non plus la correction d'italiques:% \bgroup\setupverbatim\/|egroup. Pour les espaces verticaux, on dispose de \?smallskip/, etc., et aussi dans certains contextes de: \bgroup\setupverbatim\vspace{1\jot}|egroup\ (dans les alignements) et de \bgroup\setupverbatim\vadjust{\vskip 2pt}|egroup\ (insertion d'un espace \`a la ligne suivante sans sortir du mode horizontal), etc. Pour qu'une page qui se termine par une formule mise en \'evidence soit compl\`etement remplie jusqu'au bas, utiliser la forme: \bgroup\setupverbatim $$\postdisplaypenalty=-10000 ... $$|egroup Dans certains cas, les ordres \?looseness=+1/ ou \?looseness=-1/ peuvent \^etre utiles pour \'eviter les pages insuffisamment ou trop remplies: \TeX\ cherche \`a composer le paragraphe contenant l'instruction \?looseness=/$\pm${\tt 1} avec une ligne de plus ou de moins. \subsection*{Tableaux et alignements:} De m\^eme, pour qu'un tableau commence vraiment au haut d'une page (sans aucune ligne blanche parasite), on peut utiliser \?predisplaypenalty/. Dans l'exemple suivant, il a \'et\'e d\'esactiv\'e: \bgroup\setupverbatim \def\tvii{\vrule height 12.3pt depth 5.6pt width 0pt}% $$%\predisplaypenalty=-10000 \vbox{\offinterlineskip \halign{\vrule\tvii\hfq#\quad &\vrule\hfq#\hfq &\vrule\quad#\hfq\tvii\vrule\cr \noalign{\hrule} 9&Centr\'e&Justifi\'e \`a gauche\cr \noalign{\hrule} 10&$x_1^2x_3+x_2^2x_4$&Parapluie de Whitney\cr \noalign{\hrule} }} $$|egroup \noindent (Une autre solution consiste \`a mettre tout le tableau dans une \?vbox/.) \def\tvii{\vrule height 12.3pt depth 5.6pt width 0pt}% $$%\predisplaypenalty=-10000 \vbox{\offinterlineskip \halign{\vrule\tvii\hfq#\quad &\vrule\hfq#\hfq &\vrule\quad#\hfq \tvii\vrule\cr \noalign{\hrule} 9&Centr\'e&Justifi\'e \`a gauche\cr \noalign{\hrule} 10&$x_1^2x_3+x_2^2x_4$&Parapluie de Whitney\cr \noalign{\hrule} }} $$ \remarque{}{Attention aux espaces parasites, qui d\'etruisent les alignements: il faut veiller \`a ne mettre {\it aucun espace suppl\'ementaire\/} avant ou apr\`es les symboles~{\tt\&}.} \subsection*{Petits caract\`eres:} Le texte principal est normalement compos\'e en 10 points. Pour qu'un passage soit en 9~points, il suffit de le faire pr\'ec\'eder de l'ordre \?petit/ (ou \?small/), \`a l'int\'erieur d'un groupe qui doit obligatoirement se terminer par \?par/ (ou une ligne blanche). La syntaxe est donc: \bgroup\setupverbatim \bgroup\petit ... \par\egroup|egroup. Avec cette syntaxe, tous les types d'expression sont convertis dans la bonne taille. Pour retourner en 10 points, il suffit de sortir du groupe, ou bien d'\'ecrire \?normal/. Il y a aussi \?pluspetit/ (ou \?footnotesize/) pour passer en 8~points. \subsection*{Fontes suppl\'ementaires:} Pour employer les nouvelles fontes $\eurm{Seurm}$, $\eurb{Seurb}$, $\mathscr{EUSM}$, etc., il convient de les charger avant leur premi\`ere utilisation, par un pr\'eambule comme \bgroup\setupverbatim \usepackage[mathscr]{eucal} \DeclareMathAlphabet\eurm{U}{eur}{m}{n} \SetMathAlphabet\eurm{bold}{U}{eur}{b}{n} \def\eurb#1{\boldsymbol{\eurm{#1}}} \par|egroup. Ensuite on peut les appeler simplement sous la forme \?eurm/, \?eurb/, \?mathscr/, etc. \input cyracc.def \font\tencyr=wncyr10 \def\russe{\tencyr\cyracc} Pour le cyrillique, utiliser une d\'efinition du style: \bgroup\setupverbatim \input cyracc.def \font\tencyr=wncyr10 \def\russe{\tencyr\cyracc}|egroup, \dots{\russe kak v \`etom primere.} \section{Pour terminer} L'imprimeur ajoute la date de r\'eception: \bgroup\setupverbatim \EMdate{10 octobre 1998}|egroup Quant \`a l'adresse, elle figure \`a la fin avec \?/\?/ pour s\'eparer le nom de l'auteur du reste de l'adresse: \bgroup\setupverbatim \begin{address} Daniel Coray \\ Section de Math\'ematiques Case postale 240 CH-1211 Gen\`eve 24 Suisse \email{EnsMath@math.unige.ch} \end{address}|egroup \EMdate{10 juillet 2002} \begin{address} Daniel Coray \\ Section de Math\'ematiques Case postale 240 CH-1211 Gen\`eve 24 Suisse \email{EnsMath@math.unige.ch} \end{address} \end{document}