• Au début du mot, bet et kâph (qui font partie des "begadkefat") ne sont pas précédés d'une voyelle. Ils prennent donc le dâgesh doux. 
  • Par contre, le tâw du premier mot, le premier tâw du deuxième mot et le bet du deuxième mot sont précédés d'une voyelle (cf. la lettre précédente) bayit , kâtabtâ. Ces lettres ne prennent donc pas de dâgesh. 
  • Le dernier tâw est muni d'un dâgesh, car il n'est pas précédé d'une voyelle. En effet, le shewa' est muet (cf. la leçon précédente).