Cinéma

Goodbye Staline
cycle d'hiver 2016
Staline est mort, vive le cinéma! On aurait pu croire que le dégel amorcé en 1955 laissa aux réalisateurs de l’époque un terrain fertile et propice au renouveau du cinéma. C’est sans compter, évidemment, que chaque mutation politique apporte son lot d’incertitudes et que, dans une société où l’État et la production cinématographique ne sont qu’un seul et même monstre à plusieurs têtes, les difficultés se multiplient.
Ce cycle dédié à l’une des périodes les plus prolifiques et tourmentées du cinéma soviétique est l’occasion de (re)découvrir les classiques qui ont donné au cinéma situé de l’autre côté du mur son identité si particulière. Quand passent les cigognes, Andreï Roublev ou Sayat Nova éblouissent par leur ingéniosité et leur grandeur autant dans la forme que dans le contenu. Du reste, leur renommée, parfois tardive, a influencé le cinéma du monde entier.
Prix
- Séance: 8.-
- 3 séances: 18.-
- Abo 12 séances: 50.-
Séance hebdomadaire, le lundi à 20h.
Les billets s'achètent sur place, à l'Auditorium Arditi, dès 19h30.
Production
Horaire
- du lundi 4 janvier au lundi 21 mars 2016 20:00 ‑ 22:00
call to action 2021-10-04

Quand passent les cigognes
Mikhaïl Kalatozov
lundi 4 janvier

Neuf jours d’une année
Mikhaïl Romm
lundi 11 janvier

La nuit du carnaval
Eldar Riazanov
lundi 18 janvier

Soy Cuba
Mikhaïl Kalatozov
lundi 25 janvier

Les chevaux de feu
Sergueï Paradjanov
lundi 1er février

Les aventures d’un dentiste
Elem Klimov
lundi 8 février

Andreï Roublev
Andreï Tarkovski
lundi 15 février

Le début
Gleb Panfilov
lundi 22 février

Brèves rencontres
Kira Mouratova
lundi 29 février

La couleur de la grenade
Sergueï Paradjanov
lundi 7 mars

Séance spéciale cinéma d’animation
lundi 14 mars

Le miroir
Andreï Tarkovski
lundi 21 mars
La presse en parle

Goodbye Staline
sur Radio Vostok
Entretien avec Margaux Terradas
12 janvier 2016

Goodbye Staline
sur Léman bleu

Goodbye Staline
dans La Tribune de Genève
En savoir plus

La revue du Ciné-club
Goodbye Staline

Crédits
Goodbye Staline