4 mars 2014: 1ère conférence du cycle « Le patrimoine culturel de l’humanité: un outil pour la paix »

La conférence d’ouverture de ce cycle a été donnée par le poète et essayiste palestinien Elias Sanbar qui s’est exprimé, le mardi 4 mars, sur la portée et les enjeux de l’inscription de l’Eglise de la Nativité au patrimoine mondial de l’UNESCO. Considérée comme une reconnaissance prestigieuse de la valeur culturelle, historique et patrimoniale d’un pays, l’inscription des sites sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO est au cœur des ambitions des États membres. On mesure alors l’enjeu pour la Palestine, lorsqu’elle proposa d’y inscrire son premier monument, l’Église de la Nativité à Bethléem. Cet épisode souleva des interrogations imprévues quant aux questions de frontières, de souveraineté et de procédure, puisque la Palestine n’était ni reconnue, ni installée dans sa réalité de pays indépendant et souverain.

L’Eglise de la Nativité au patrimoine mondial: portée et enjeux
Par Elias Sanbar, ambassadeur de Palestine auprès de l’UNESCO
UNI DUFOUR, Auditoire Rouiller (sous-sol)
MARDI 4 MARS à 18h30

ENREGISTREMENT VIDÉO

Les autres conférences du cycle

MERCREDI 16 AVRIL 2014 | 18h30, UNI DUFOUR
La destruction du patrimoine culturel en situation de conflit
Irina Bokova, directrice générale de l’UNESCO
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LUNDI 5 MAI 2014 | 12h15, UNI MAIL (salle MS150)
Le rôle des arts dans les processus de paix*
Metin Arditi, ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO
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MARDI 27 MAI 2014 | 18h30, UNI DUFOUR
Différends en matière de biens culturels: quel rôle pour Genève?
Marc-André Renold, Titulaire de la chaire UNESCO en droit international des biens culturels, UNIGE
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JEUDI 12 JUIN 2014 | 18h30, UNI DUFOUR
Collections: Passion de vie
Jean-Claude Gandur, président fondateur de la Fondation Gandur pour l'Art
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*dans le cadre du cours de la chaire UNESCO, exceptionnellement ouvert au public.

Le cycle est organisé dans le cadre de la chaire UNESCO en droit international de la protection des biens culturels, avec le soutien de la Fondation Arditi et en partenariat avec le Club diplomatique de Genève et Le Temps.