[1] A Paraître dans les Cahiers Psychiatriques Genevois, 1995.

2 E. Morin, Terre-patrie. Paris, Seuil, 1993.

[3] Par exemple, A. Badiou, L'éthique. Eassai sur la conscience du Mal, Paris, Hatier, 1994.

[4]R.Mishari, Le bonheur. Essai sur la joie, Paris, Hatier, 1994; Les actes de la joie, Paris, PUF, 1987; E.Enriquez, Molle emprise et charme discret de l'éducation démocratique, Nouvelle Revue de psychanalyse, ndeg.24, 1981.

[5] E.Morin, Mes démons, Paris, Stock, 1994, p. 114.

[6] E. Enriquez, "Idéalisation et sublimation", in Psychologie Clinique, ndeg.3, 1990.

[7] P.Ricoeur, Soi-même comme un autre, Paris, Seuil, 1990.

[8] Ce passage doit beaucoup au chapitre "Epreuves communes" de mon ouvrage Le lien éducatif : contre-jour-psychanalytique, Paris, PUF, 1994, p.121-132.

[9] D. Sibony, Ecrits sur le racisme, Paris, Bourgeois, 1988, p.219.

[10] C. Castoriadis, Notations sur le racisme, Connexions, ndeg.48, 1986, p.116.

[11] D. Sibony, op. cit., pp.11,13.

[12] E. Enriquez, Le retour des forces obscures: le racisme comme symptôme, Connexions, ndeg.45, 1983, p.220.

[13] C. Castoriadis, Notations sur le racisme, op.cit., p.111.

[14] E. Enriquez, Vers la fin de l'intériorité, Psychologie clinique, ndeg.2, 1989, p.76.

[15] P. Ricoeur, Soi-même comme un autre, op.cit., p.223-224.

[16] M. Foucault, Naissance de la clinique, Paris, P.U.F., 1972.

[17] E. Enriquez, L'organisation en analyse, Paris, PUF, 1992; M. Cifali, Le lien éducatif : contre-jour psychanalytique, Paris, PUF, 1994.

[18] V. Chalamov, Les récits de Kolyma, t.1, La nuit; t.2 Quai de l'enfer, Paris, Poche, 1990.

[19] A. Badiou, L'Ethique. Essai sur la conscience du mal, Paris, Hatier, 1994.

[20] Y. Pélicier , "Clinique et société", in Confluences, ndeg. 18, Paris, 1993, p.49.

[21] M. Foucault , Naissance de la clinique, Paris, P.U.F., 1972.

[22] E.Enriquez, Les enjeux éthiques dans les organisations modernes, Sociologie et sociétés, vol. XXV, ndeg.1, 1993, pp. 25-37.

[23] Ibid., p.34.

[24] Ibid., p.35.

[25] Ibid., p.36,37.

[26] E. Levinas, Humanisme de l'autre homme, Paris, Fata Morgana, Biblio, 1987, p.46.

[27] "Le problème clé de l'éthique-pour-soi est celui de la relation avec notre propre égocentrisme. Il y a en chacun un noyau égocentique inéliminable et, de ce fait, il y a dans la vie morale une part amorale, du reste nécessaire à l'exercice de la morale, ne serait-ce que parce qu'elle permet la survie. Un cal d'indifférence est nécessaire pour ne pas être décomposé par la douleur du monde : on ne peut vivre sans être partiellement bouché et obtus, aveugle et pétrifié. Mais, du coup, il est nécessaire d'être conscient de ses propres zones aveugles et de ses carences, et c'est ici que l'auto-examen critique nous permet de nous décentrer relativement par rapport à nous-mêmes, donc de reconnaître et juger notre égocentrisme.", E.Morin, Mes démons, Paris, Stock, 1994, p. 100. Voir dans cet ouvrage, le chapitre sur "Auto-éthique", pp. 87 -137.