Sonia Solfrini a étudié à Vérone, Tours et Paris. Elle a obtenu son master en Langues et littératures comparées à l’Université de Vérone en 2019, avec un mémoire intitulé « Costellazioni francesi : il fondo cinquecentesco della biblioteca Queriniana di Brescia ». Elle a travaillé en tant que stagiaire à la base des données du projet numérique DUBI (Du Bellay et l’Italie) à l’Université de Vérone. Elle a également travaillé en tant qu’enseignante d’italien à Maastricht, Lanaken et Liège.

Depuis le mois de mars 2023, elle est boursière FNS et candidate au doctorat à l’IHR. Dans le cadre de son doctorat et du projet de recherche SETAF, elle s’intéresse aux publications liées au « groupe de Neuchâtel », réuni autour du réformateur Guillaume Farel. Dans une perspective de philologie computationnelle, elle étudie l’intertextualité à l’œuvre dans ce « corpus réformé romand » et elle interroge la question de l’auctorialité des textes publiés sous couvert d’anonymat. Elle prépare son projet de thèse sous la direction de Daniela Solfaroli Camillocci (IHR) en partenariat avec la chaire des humanités numériques (DH-UNIGE).