5 mai 2022 - JE

 

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L’innovation «low-tech» au service de la durabilité

 

 

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Photo: DR


Beaucoup moins médiatisée que sa consœur high-tech, l’innovation low-tech est pourtant promise à un bel avenir dans une société qui entend miser sur la sobriété pour assurer sa survie face à la menace climatique. Les deux pôles ne sont d’ailleurs pas antinomiques, explique un article d’Entreprise romande, où l’on apprend notamment que des innovations low-tech voient le jour chaque semaine dans les PME en Suisse. Des exemples? Le réemploi d’une matière pour en créer une autre et de nouveaux objets, des ustensiles ou des dispositifs utiles à la vie de tous les jours. Une entreprise genevoise a ainsi mis au point une poubelle qui facilite le tri des déchets organiques grâce à un système de mise sous vide.

Directrice de l’Entrepreneurship Laboratory de la Faculté d’économie et de management (GSEM), Nadine Reichenthal estime que les aides et les soutiens financiers devraient être plus nombreux pour les projets low-tech, à l'instar des aides qui existent pour les projets high-tech, beaucoup plus médiatisés. «Les innovations low-tech s'harmonisent parfaitement avec notre époque plus soucieuse de l'environnement, explique-t-elle. Elles misent souvent sur le local pour produire ou vendre un bien ou un service et se tournent très fréquemment vers des problématiques liées à l'amélioration de notre qualité de vie.»

 

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