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Beccaria : de la révélation à la codification. Religion et droit pénal au temps des Lumières

2-3 février 2018

Sixième Journée d'étude Damoclès, en partenariat avec l'Institut romand de systématique et d'éthique (IRSE)

Université de Genève, Uni-Bastions, B 109

 

Vendredi 2 février

Accueil des participant(e)s.

— 14h15 : Michel Porret (UNIGE) :« Liminaire : providentialisme pénal ? »

Présidence : Olinda Testori (UNIGE/DAMOCLES)

— 14h30 : Elio Tavilla (Università degli Studi di Modena e Reggio Emilia) : « Le corps du délit : la dépénalisation du suicide entre droit et religion »

— 15h00 : Cecilia Pedrazza Gorlero (Università degli Studi di Verona) : « Cesare Beccaria et la désacralisation du pouvoir souverain »

— 15h30 : Discussion

16h00 : Pause

Présidence : Vincent Fontana (UNIGE/DAMOCLES)

— 16h30 : Monica Stronati (Università degli Studi di Macerata) : « Beccaria : de la douceur de la miséricorde à la douceur des peines »

— 17h00 : Alberto Bondolfi (UNIGE) : « Peut-on parler de "sources" théologiques dans l'œuvre de Beccaria et de Pietro Verri ? »

— 17h30 : Discussion

Samedi 3 février

Présidence : Fabrice Brandli (UNIGE/DAMOCLES)

— 09h30 : Philippe Audegean (Université Nice Sophia Antipolis) : « L’insecte et l’architecte. Beccaria et la politique dans les limites de la simple raison »

— 10h00 : Gigliola di Renzo Villata (Università degli Studi di Milano): « Beccaria et les crimes religieux à l’époque des Lumières »

— 10h30 : Wolfgang Rother (Université de Zurich) : « Beccaria critique de la religion : le fondement philosophique du droit pénal »

— 11h30 : Propos conclusifs

— Annonces : DAMOCLES et Beccaria. Revue d’histoire du droit de punir

Illustration: A. Fouquier, Les Causes célèbres de tous les peuples, Paris, Lebrun, 1859. [Jean Calas sur l'échafaud, page de titre] - L'Exécution : "Mon Dieu — disait-il —   pardonnez à mes juges...".