Note(s)

[1]  ARC= AIDS-related Complex

[2]  panB CD 20 +, panB MB1 (C45R) légèrement +, CD 45 faiblement +, CD 3 -, UCHL1 -, CD 30 -, immunoglobine cytoplasmique -,

[3]  ddI, Videx®

[4]  Retrovir-AZT®

[5]  3TC®

[6]  Norvir®, anti-protéase

[7]  Zerit®

[8]  Viracept®

[9]  Crixivan®

[10]  Ziagen®

[11]  Stocrin®

[12]  Viramune®

[13]  NHL le plus fréquent chez les enfants de moins de 4 ans et le deuxième NHL chez les 5-14 ans (14)

[14]  NHL le plus fréquent chez les 5-14 ans et le deuxième chez les 15-19 ans et les moins de 5 ans (14)

[15]  HHV-8 : Human herpes virus 8, aussi appelé Kaposi Sarcome Herpes Virus (KSHV)

[16]  Protéïne tat : " early transactivator protein " capable de promouvoir la croissance des cellules fusiformes en culture

[17]  Cette différence est peut-être le résultat d'un biais du à un diagnostic plus difficile sur une peau noire et un accès aux soins plus restreint dans la population d'origine africaine aux USA, secondaire à un niveau socio-économique plus bas (32).

[18]  Nodule ferme, non douloureux souvent observé mais peut également être une lésion plate, non palpable ressemblant à une ecchymose. Violette mais également brune, noire (34).

[19]  Surtout TGI. Lors d'atteinte cutanée, on retrouve une KS du tractus GI dans 40 % des cas (56).

[20]  Lésion plate ou surélevée, solitaire ou multiple, touchant parfois plusieurs sites anatomiques distincts simultanément, de teinte variable (bleu, rouge, pourpre) (47).

[21]  Lorsque la dose augmente, le nombre et la durée des CR augmentent mais la toxicité aussi(45).

[22]  Tels que le Sotradecol® = 3% de sodium tetradecyl sulfate lors de petites lésions du palais dur(45).

[23]  Analogue de la fumagilline

[24]  Lymphocyte cytotoxique HIV spécifique, AC neutralisant, AC dépendant de la toxicité cellulaire

[25]  2ème tumeur la plus fréquente chez les enfants sidéens. Le risque relatif de leiomyosarcome chez l'enfant HIV+ est très élevé. Il pourrait s'agir d'une variante du KS (32).

[26]  Atteinte du tractus gastro-intestinal par des lymphomes de haut grade très fréquente. Secondaire plus fréquent que primaire, ganglionnaire extra-ganglionnaire, définissant un SIDA dans environ 40 % des cas. Survie moyenne de 10 mois. Surtout chez des hommes homo ou bisexuels. Toujours des symptômes gastro-intestinaux (douleurs, dysphagie, baisse de l'appétit, obstruction, iléus, perforation, hemorragie digestive). Diagnsotic précoce permet un traitement efficace (rémission partielle ou complète dans 60 % des cas mais rechute précoce) avec amélioration du QOL et de la survie (56).

[27]  La survenue d'un NHL primitif du foie est rare lors d'infection par le HIV, contrairement à l'envahissement secondaire (65). Lors de NHL hépatique primaire, les patients étaient, dans a majorité des cas, à un stade avancé de leur HIV. Symptômes : ictère, HM, asthénie, perte poids(65)

[28]  24 % des cas ont une invasion de la MO lors du diagnostique de NHL (59).

[29]  60 ans dans la population générale HIV-. Cette différence reflète la différence d'âge de survenue des NHL entre ces deux populations (22, 24).

[30]  Score le plus largement utilisé dans l'évaluation du status de santé des patient HIV+. Autre quotation (<1>). Il existe un autre mode d'évaluation de l'état d'activité du patient qui semble plus facile à reproduire. Il s'agit de l'échelle proposée par le " Eastern Cooperative Oncology Group " et retenu par l'OMS pour différentier de la qualité de vie.

[31]  Un index mitotique >10 indiquerait un échec thérapeutique, un index <2 une guérison assurée.

[32]  CD4 65/ul contre 123/ul (14).

[33]  Voir facteurs pronostic : CD4>100 ...

[34]  ACVBP : Doxorubicine - cyclophosphamide - vindesine - bléomycine - prednisone

[35]  M-BACOD : methotrexate - leucovorine rescue - bléomycine - doxorubicine - cyclophosphamide - vincristine - dexomethasone

[36]  CHOP : cyclophosphamide - doxorubicine - vincristine - prednisone

[37]  AC monoclonaux dirigé contre des antigène de surface des cellules tumorales. Ces AC monoclonaux (par ex. AC anti-CD19 ou anti-CD20) sont conjugués à une toxine qui pénètre la cellule tumorale et la tue. Les effets secondaires ne sont pas rares (mylagies, nausée et vomissements, asthénie, augmentation des enzymes hépatiques) (55).

[38]  Lomustine (CCNU) 100mg/m2 (j1), etoposide 200 mg/m (j1-3), cyclophosphamide 100 mg/j (j22-31), procarbazine 100 mg/j (j22-31).

[39]  Hypergamma-globulinémie très importante