Les associations philanthropiques s’intéressent de près à la question pénitentiaire d’un point de vue théorique, philosophique et médical, mais pas seulement.
Le Comité moral est créé en 1818 pour épauler les deux chapelains dans leur oeuvre religieuse et morale en faveur des détenus. En 1825, avec l’ouverture de la Prison pénitentiaire, un Comité de surveillance morale et de régénération des prisonniers est constitué pour guider les détenus tout au long du chemin du redressement, y compris après la sortie de prison.
En 1834, le nombre de détenus augmentant, le Comité de patronage des prisonniers libérés voit le jour ; il s’occupe exclusivement d’accompagner les détenus une fois la liberté retrouvée afin qu’ils ne récidivent pas.
Les associations philanthropiques s’intéressent de près à la question pénitentiaire d’un point de vue théorique, philosophique et médical, mais pas seulement.
Le Comité moral est créé en 1818 pour épauler les deux chapelains dans leur oeuvre religieuse et morale en faveur des détenus. En 1825, avec l’ouverture de la Prison pénitentiaire, un Comité de surveillance morale et de régénération des prisonniers est constitué pour guider les détenus tout au long du chemin du redressement, y compris après la sortie de prison.
En 1834, le nombre de détenus augmentant, le Comité de patronage des prisonniers libérés voit le jour ; il s’occupe exclusivement d’accompagner les détenus une fois la liberté retrouvée afin qu’ils ne récidivent pas.
Louis-André Gosse (Dr. en médecine, membre de la Société d’utilité publique suisse), Examen médical et philosophique du système pénitentiaire (1837).
Louis-André Gosse (Dr. en médecine, membre de la Société d’utilité publique suisse), Examen médical et philosophique du système pénitentiaire (1837).
Chronique genevoise. Revue du mouvement intellectuel, artistique et philanthropique. Fondée avec le concours de la Société genevoise d’utilité publique.
Cette revue parut de manière hebdomadaire de janvier 1868 à décembre 1869.
© Exposition Figures de l'ombre