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Sans la philanthropie, notre société se porterait moins bien

Qui détermine ce qui bien? Une organisation est-elle considérée comme caritative parce qu’elle est exonérée d’impôts? Dans cette interview, Giuseppe Ugazio, professeur à la GSEM, répond que c’est plutôt l’inverse. L’exonération fiscale n’est pas inhérente à la bienfaisance. Même si c’est le cas dans la pratique, il ne faut pas le voir dans cet ordre-là. L’exonération est plutôt la suite logique du caractère caritatif d’un organisme. Le gouvernement offre une incitation aux personnes qui soutiennent à titre privé des causes telles que l’aide aux personnes dans le besoin ou la promotion de l’art. Elles peuvent prendre leurs propres initiatives lorsque l’État ne peut fournir de fonds ou lorsque les fonds qu’il fournit sont insuffisants. L’exonération fiscale, c’est donc la reconnaissance par l’État d’un engagement en faveur d’une valeur. Cet engagement permet d’apporter des solutions qui coûteraient de toute façon de l’argent à l’État.

Giuseppe Ugazio pense que sans la philanthropie, notre société se porterait moins bien. Même en Suisse, où l’État est pourtant relativement bien adapté aux besoins de la population, on constate que tout ne fonctionne pas parfaitement. L’engagement de particuliers et d’institutions privées apporte des améliorations là où l’État ne fonctionne pas aussi bien que nous pourrions l’espérer. Une société sans activités philanthropiques est possible mais les dysfonctionnements seraient davantage marqués.

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November 24, 2020
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