Explorer l’espace, mais pour quoi faire?
Quels sont les bénéfices réels d’une exploration du système solaire, activité chère et parfois dangereuse pour les spationautes? Que nous réserve le futur dans les domaines de l’astronomie spatiale? Pour répondre à ces questions, l’Université du 3e âge (Uni3) invite, le 19 octobre, le spationaute veveysan Claude Nicollier.
Le tout premier satellite artificiel, Spoutnik I, a été lancé par l’URSS en 1957. Depuis cette époque, 5500 satellites artificiels ont été placés en orbite dont 700 seraient encore actifs. L’année 2009 a marqué le 40e anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune et, en avril prochain, nous fêterons les 50 ans du premier vol spatial de Youri Gagarine. L’exploration de l’espace est devenue, en un demi-siècle, une priorité pour de nombreux pays, agences nationales et internationales dans le monde.
Né en 1944, Claude Nicollier travaille pour l’Agence spatiale européenne. Il est devenu, en 1992, le premier Suisse dans l’espace et aussi l’un des premiers ingénieurs, en dehors des Américains, à avoir volé avec la navette. Son rôle lors de sa première mission (STS-46) était de manier le bras de la navette. Depuis, il a fait trois autres vols en 1993, 1996 et 1999.
"L’espace, pour quoi faire?"
par Claude Nicollier
Uni Dufour, Auditoire Piaget
Mardi 19 octobre à 14h30
Membres Uni3, corps enseignant, PAT, étudiants, journalistes: entrée libre Plein tarif: 10 francs
13 octobre 20102010