Témoignages, questions fréquentes, vidéos

Témoignages

Récits d'expériences de quelques étudiant-es à distance:

Antonin : "j'ai apprécié l'excellente organisation de ce cursus à distance"

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J'ai bien apprécié l'excellente organisation de ce cursus à distance. Les informations étaient abondantes, les délais et exigences étaient clairement établis, échelonnés et communiqués en avance, les responsables étaient très atteignables, et les réunions en visioconférences fort appréciées. Ceci est certainement un grand atout de ce cursus.

Au niveau du contenu, j'ai apprécié approfondir mes connaissances bibliques, qui me sont très utiles pour mon ministère de pasteur évangélique. Les langues anciennes me permettent d'être plus précis dans mon travail avec les écritures. Les autres disciplines ont contribué à élargir à ma culture générale. (2023)

Olivier : "une formation rigoureuse et exigeante, dispensée par un corps professoral d’exception"

Olivier_Toffoletti.jpgJe me suis engagé dans ce parcours de formation en théologie sans bien savoir ce qui m’attendait, un peu sur un coup de tête, en me disant que cela n’engageait à rien de s’inscrire pour une première année, juste pour se faire une idée, et puis éventuellement d’abandonner si je m’apercevais en cours de route que je n’étais pas fait pour ce genre d’études. Mais je me suis rapidement laissé prendre au jeu, si tant est que l’on puisse parler de jeu ! En réalité, les professeurs ont beau nous souhaiter régulièrement « beaucoup de plaisir » à l’étude de leurs cours en début de semestre, il ne faut pas se cacher qu’il n’y a pas que du plaisir, mais qu’il y a aussi beaucoup d’efforts à consentir, et une discipline rigoureuse à s’imposer à soi-même pour parvenir à tenir le rythme, surtout lorsque l’on ne peut consacrer à l’étude qu’une partie de son temps parce que l’on a par ailleurs des obligations professionnelles et familiales.
Il n’en demeure pas moins que la qualité remarquable des cours, la passion des enseignants pour leur discipline, la disponibilité et le dévouement de leurs assistants avec lesquels nous sommes en contact régulier en cours des semestres, rendent finalement ce parcours d’études bien agréable, malgré son caractère exigeant.
Il faut aussi réserver une mention spéciale pour le soutien permanent et bienveillant de Madame Bérénice Jaccaz, coordonnatrice de l’enseignement à distance, qui assiste les étudiants à distance tout au long de leur scolarité, leur procure tous les renseignements utiles, et leur rappelle régulièrement les échéances à respecter, ce qui est particulièrement utile lorsque l’on est éloigné géographiquement de l’université, et donc un peu déconnecté de la vie universitaire.
Pour terminer, je voudrais surtout conseiller aux personnes qui consultent ce site en se demandant si elles vont ou pas s’engager dans ces études, de ne plus hésiter : les études de théologie apportent à ceux qui s’y consacrent un incroyable enrichissement intellectuel, voire spirituel pour ceux qui ont la foi. A aucun moment l’on ne regrette le temps passé à ces études, et la satisfaction de parvenir avec succès au terme du parcours est immense. Tout cela est possible, dans des conditions optimales, à la Faculté de théologie de l’Université de Genève, qui offre une formation rigoureuse et exigeante, dispensée par un corps professoral d’exception ! (2022)

Frédérique : "mon voyage théologique fut surtout intérieur"

Jaccard_Frederique.jpgA 47 ans, au milieu d’une vie bien remplie de musicienne et de mère de famille, je me suis inscrite aux cours à distance de la Faculté de théologie à l’université de Genève, parce que depuis longtemps je lisais la Bible et me posais beaucoup de questions sur Dieu ; je souhaitais enfin prendre le temps d’y réfléchir.
Durant mes cinq années d’études à distance, mon voyage théologique fut surtout intérieur, intense, houleux parfois, repoussant mes limites intellectuelles et nourrissant ma recherche spirituelle par des lectures, des réflexions et le questionnement exigeant de mes repères, de mes croyances et de mes représentations. L'écart était parfois grand, mais toujours très stimulant.
J’ai souvent eu l’impression d’avoir commencé un puzzle de 12'000 pièces sans modèle, et d’avancer par tout petits bouts, en me demandant si un jour je verrai l’image apparaître et trouver sa cohérence. J’ai par exemple étudié l’histoire du christianisme dans les conflits trinitaires, l’hébreu, le mystère du mal en éthique, la problématique deutéropaulinienne en exégèse néotestamentaire, les religions du Japon, le Symbole des Apôtres en théologie systématique, la spiritualité féminine et les nombreuses strates rédactionnelles de l’Ancien Testament…  je peux dire aujourd’hui que ce n’est pas un puzzle qui s’est figé mais plutôt une grande mosaïque colorée qui s’est créée peu à peu, comme un paysage qui s’est élargi, approfondi au fil du temps et qui continuera de le faire, j’espère, parce que je me suis mise en route.
Sur cette route, je me suis sentie accompagnée par les assistants, les professeurs, les étudiants, Bérénice, ma famille et mes amis, toutes ces personnes qui l’ont jalonnée de leur présence bienveillante, de leurs échanges, leurs commentaires, leur intérêt et leur soutien. Je me sens très reconnaissante envers eux tous. Témoignage dans son intégralité... (2022)

Kévin : "la théologie est la question du sens que l'être humain adresse au texte sacré, à son présent et à lui-même"

Buton_Kevin.jpgJe dois tant à la faculté de théologie de Genève. Mais ce que je leur dois par-dessus tout, c’est l’apprentissage de la critique, au sens le plus élevé de ce terme. Foucault, lecteur de Kant, disait de la modernité qu’elle était « l’âge de la Critique ». Bien des chrétien-ne-s ont peur de cette critique et de cet âge qui est le nôtre. Leur foi, pensent-ils, les raccroche à un temps pré-critique où l’autorité du texte biblique passait par la mortification de l’intelligence.
Pourtant, un-e chrétien-ne ne doit pas craindre la critique. La théologie, telle qu’elle est pratiquée à Genève, n’inculque pas un corps de doctrines qu’il s’agirait de recevoir comme autant de dogmes, mais elle éduque aux outils par lesquels notre entendement se forme lui-même. L’hébreu et le grec m’ont ouvert à deux mondes engloutis dont je ne soupçonnais pas la richesse. L’histoire et les sciences bibliques m’ont ouvert aux conflits qui traversent l’existence des êtres de la Bible comme ils traversent la nôtre. La philosophie et l’éthique m’ont averti du piège des évidences et des jugements tout faits.
La théologie n’est pas la réponse, elle est la question ; elle est la question du sens que l’être humain adresse au texte sacré, à son présent et à lui-même. (2022)

Natasha : "mon bachelor en poche, je me sens riche de tant de fréquentations intellectuelles"

Farrow_Natasha.jpgEn septembre 2017, j’ai retrouvé le chemin de l’université, après une absence de 31 ans. J’avais en effet étudié la théologie de 1984 à 1986. Puis la vie m’a emmenée loin des études, des livres et des auditoires. C’est donc le cœur battant, que j’ai gravi les marches de l’Université de Genève, avec comme objectif la réalisation d’un rêve insolite : obtenir un bachelor en théologie à distance.
Et je n’ai pas été déçue une seule seconde. Les matières se sont succédé comme autant de délicieuses becquées, exigeantes certes, mais non moins revigorantes.
Mon bachelor en poche, je me sens riche de tant de fréquentations intellectuelles, plus apte à argumenter sur une position éthique, davantage au clair sur l’histoire du christianisme, maîtrisant mieux l’exégèse d’un texte biblique et prenant même un plaisir certain à décrypter les hiéroglyphes autrefois si terrifiants d’un apparat critique grec ou hébreu. Toutes ces découvertes exigent maintenant un temps pour la digestion, le repos et la reconnaissance. Témoignage dans son intégralité... (2021)

Véronique : "chaque matière m’a permis de mieux saisir les enjeux du christianisme d’un point de vue historique, sociétal et personnel"

Thielen_Veronique.jpgLe parcours du Bachelor fut pour moi un long voyage, une grande aventure enrichissante.
D’une part, parce que j’ai fait le choix de faire cette formation à distance et à temps partiel, sur six années, ce qui présente différents avantages mais implique aussi une ferme motivation, de l’endurance et une grande autodiscipline.
D’autre part, parce que la formation a répondu à mes attentes par son contenu toujours intéressant et rigoureux. Chaque matière m’a permis de mieux saisir les enjeux du christianisme d’un point de vue historique, sociétal et personnel. J’ai acquis une nouvelle compréhension de cette religion qui va certainement nourrir favorablement mon travail de verrière d’art et continuer à se développer.
Par ailleurs, je tiens à remercier les enseignants et assistants pour le remarquable suivi qu’ils assurent notamment grâce à l’excellente qualité des cours mis à notre disposition et les corrections des travaux, ainsi que toutes celles et ceux qui œuvrent au sein de la Faculté de théologie pour cette formation de qualité. (2019)

Chrystal : "les enseignants sont très exigeants mais aussi très à l'écoute et pédagogues"

Vanel_Chrystal.jpgSuite à une passion pour la théologie qui me poursuivait depuis de nombreuses années, j’ai décidé de concrétiser le projet d’études en théologie à la Faculté de Genève. La formation à distance m’a permis d’apprendre à mon rythme. Les enseignants sont très exigeants mais aussi très à l’écoute et pédagogues. Aussi, le suivi administratif et des études par Madame Jaccaz nous rassure et nous encourage tout au long de ce parcours. Les langues bibliques, grec et hébreux, font particulièrement peur à la majorité des étudiants. Il n’est pas évident d’apprendre deux langues anciennes, aux grammaires compliquées, quand on n'est plus tout jeune ! Cependant, nos enseignants de langues, Madame Andrey et Monsieur Roduit, ont été particulièrement pédagogues, patients, remplis d’empathie et encourageants, et donc ça a marché ! Je garderai donc un très bon souvenir de mes études à distance en théologie à Genève, et je suis encore surpris par tout ce que j’ai pu y apprendre. (2018)

Jeffery : "la théologie est avant tout multidisciplinaire"

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Je suis de langue maternelle anglaise, né aux USA, et issu de deux familles de Pèlerins qui étaient sur le Mayflower. Il semble que la religion coule dans mes veines. Quand je suis arrivé en France, il y a quelques années, je voulais continuer mes études, spécialement dans le domaine de la théologie. J’ai finalement décidé d’entreprendre mes études à distance à la Faculté de théologie de l’Université de Genève et n’ai pas été déçu par mon choix.
La théologie est avant tout multidisciplinaire : grec, hébreu, exégèse, systématique, éthique, histoire, psychologie, philosophie, etc. L’Université de Genève n’est pas trop chère, environ 500€ ou 600$ le semestre, et la réputation de la Faculté de théologie est excellente. Après tout, c’est l’académie fondée par Jean Calvin.
Je ne dirai pas que j’ai aimé toutes les disciplines composant le cursus de théologie, mais que je les ai en tout cas toutes appréciées. Et surtout, cela m’a permis de trouver la direction dans laquelle je souhaite désormais continuer : les langues bibliques et patristiques et la patrologie. Témoignage dans son intégralité... (2019)

Alexis: "je reprends mon parcours de réflexion personnelle avec un bagage littéraire, historique et théologique beaucoup plus conséquent"

Quoniam_Alexis.jpgLa foi est quelque chose de primordial chez moi mais je n'ai pas toujours été à l'aise quant aux liens possibles avec le domaine intellectuel. Etant curieux de nature, je me suis intéressé très tôt à la Bible mais en grandissant j'ai découvert que certaines de mes questions ne trouvaient pas de réponse malgré de nombreuses tentatives de ma part. Je manquais d'outils intellectuels pour soutenir ma réflexion. Ayant un bagage scientifique à l'origine, le raisonnement ne me posait pas beaucoup de problèmes, mais l'approche des textes, l'histoire, les langues anciennes, manifestaient un cruel manque de connaissance et de méthode chez moi. Ce parcours à distance, découvert suite à des recherches sur internet sur la manière de réaliser des études académiques de théologie, m'a tout de suite interpelé. Le côté "à distance" de la formation m'intéressant vraiment -afin de continuer à travailler en parallèle- il ne m'a pas fallu longtemps pour me décider!
Des réponses, je n'en ai pas vraiment eu, ou pas beaucoup... Des outils, si! Et c'est ce que je recherchais! Au terme de ces quelques années de parcours assez dense, je reprends mon parcours de réflexion personnelle avec un bagage littéraire, historique et théologique beaucoup plus conséquent, et un univers de réflexions largement ouvert!
Je remercie les professeurs, et leurs assistants pour leur soutien essentiel. Je remercie aussi vivement la coordinatrice de la formation à distance qui réalise un travail immense! (2015)

Hanna: "les conseillers aux études sont là pour aiguiller les étudiants dans la charge de travail qu’ils sont prêts à assumer"

Hanna.jpgJ’ai commencé les études de théologie à distance depuis Paris, juste après avoir obtenu un master en Finance de Sciences-Po, une grande école parisienne. J’étais à l’époque soulagée d’en avoir fini avec les études! Mais à peine quelques mois plus tard, alors que j’avais déjà commencé à travailler comme responsable de communication dans une entreprise industrielle française, j’ai souhaité reprendre des études pour continuer une réflexion académique et ne pas «rouiller», mon poste en entreprise étant très intéressant mais moins intellectuel.
L’offre de la Faculté de théologie de l’université de Genève était très adaptée à mon emploi du temps chargé et m’a tout de suite séduite: outre le sujet fascinant de la théologie, la structure du programme offre à la fois une grande souplesse et un suivi proche des étudiants. Le calendrier fixe et défini dès le début d’année permet de s’organiser au mieux et de prendre le bon rythme. Cependant, comme beaucoup d’étudiants à distance, j’avais certaines contraintes professionnelles et la Faculté s’est toujours montrée très compréhensive. Mais qui dit flexible ne dit pas laxiste! Le bachelor à distance est un programme de la Faculté de théologie de l’université, il s’agit donc d’un diplôme universitaire à part entière. Il faut être prêt à y consacrer du temps et du travail. Les conseillers aux études sont là pour aiguiller les étudiants dans la charge de travail qu’ils sont prêts à assumer.
Je suis maintenant étudiante en présence en master, et je n’ai absolument pas l’impression d’avoir été moins bien formée que les étudiants du bachelor en présence. Sans doute ai-je bénéficié de ma sortie toute récente du monde des études, j’avais encore les bons réflexes en tête, mais bon nombre des étudiants à distance ont quitté le monde des études depuis longtemps et s’en sortent à merveille! (2014)

Pierre-Louis: "pas de réponses toutes faites, mais des outils pour comprendre, analyser, et savoir entrer en dialogue avec les autres"

PierreLouis.jpgLa théologie m'intéresse depuis mes vingt trois ans. J'avais alors été marqué par la lecture d'un livre sur Jésus qui remettait en question certains dogmes appris au catéchisme. Après mes études scientifiques et médicales j'ai entamé une carrière dans l'industrie pharmaceutique avant de me lancer dans ma propre entreprise. Pendant tout ce temps là, j'ai lu tous-azimuts ce qui me tombait sous la main et qui ressemblait peu ou prou à de la théologie, mais avec une famille de trois enfants et une entreprise à gérer je n'avais guère la possibilité d'envisager plus. Après avoir eu revendu mon affaire, il m'a fallu peu de temps pour me décider: les études à distances étaient faites pour moi!
A mon rythme (mais soutenu tout de même), tout en travaillant, j'ai pu découvrir les méthodologies permettant d'envisager la question de Dieu et des religions. Pas des réponses toutes faites, mais des outils pour comprendre, analyser, et savoir entrer en dialogue avec les autres, avec mes propres convictions et même avec celles des grands auteurs (dont les auteurs bibliques!). Globalement, la culture théologique qui était la mienne avant de commencer à été réorganisée, réorientée, et surtout approfondie, de manière académique et scientifique.
La pertinence du programme des études qui les rend passionnantes, la qualité des enseignements élaborés par les professeurs, l’investissement et l'encouragement permanent des assistants (en écrivant cela, les noms de plusieurs d'entre eux me viennent à l'esprit avec émotion!), m'ont permis d'aller au terme de ce Bachelor. Je termine ces quatre ans bien plus riche que je ne l'étais au départ. (2014)

Valérie: "est-ce vraiment possible d'apprendre le grec «à distance»?"

Thorin_Valerie.jpgAnnée 1, jour 1, journée de rentrée.
«Si vous faites vingt minutes de grec tous les jours, vous n’aurez aucun problème à la fin de l’année pour vos examens...». Le conseil de Madame Lukinovich me rassure. J’entreprends ces études de théologie autant par vocation pastorale que par désir d’acquérir des connaissances, mais il y a bien longtemps que j’ai quitté le monde des études et je crains de ne plus avoir l’esprit aussi délié que dans ma prime jeunesse. Le grec, notamment, m’inquiète. Est-ce vraiment possible de l’apprendre «à distance»? L’avenir dira clairement: oui. Et il en sera de même pour l’hébreu.
Année 1, jour 112, derniers devoirs avant examens.
C’est ce que je craignais: ma mémoire me joue des tours. En Nouveau Testament, impossible de retenir structures et contenus. A l’approche de l’examen, j’ai l’impression d’être ignorante. Une amie me donne un conseil: fais des «mind mapping», des diagrammes qui reprennent, par thèmes, chapitres et sous-chapitres, l’essentiel de ce qu’il faut savoir avec les liaisons entre chaque groupe de notions. Je m’y mets pour les révisions. Pour le grec, tout va bien: le tutorat hebdomadaire m’a aidée et je m’entraîne plusieurs fois par mois avec deux autres étudiants. Nous nous retrouvons dans la "salle de grec" virtuelle quand elle est inutilisée. Distance ne signifie pas isolement, nous cherchons ensemble les solutions à nos difficultés et, lorsque nous butons sur un problème, l’un de nous se charge de poser la question à l’assistante lors du prochain tutorat. Suite du témoignage... (2013)

Carmelo: "le suivi des étudiants par les assistants et les professeurs est exemplaire"

Catalfamo_Carmelo.jpgInstituteur de profession, je me plais dans ce métier. Pourtant, depuis longtemps j’avais envie d’aborder la théologie d’une manière sérieuse. Ayant suivi un «séminaire de culture théologique» de base, je suis resté sur ma faim. La seule possibilité qui s’offrait à moi était la théologie à distance, avec ses avantages (possibilité d’étudier à son rythme) et ses inconvénients (une relative solitude). Plus que la volonté de devenir pasteur, c’est l’intérêt pour la théologie qui a motivé ma démarche. Le parcours universitaire m’a de ce point de vue comblé, même si je découvre au fur et à mesure tout ce qui mériterait des approfondissements…
Pour mener à bien de telles études, deux requis sont nécessaires: une motivation forte et un travail régulier. J’insiste sur cette dernière considération, parce que sans régularité et un rythme non adapté (généralement la surcharge), il est impossible d’arriver en fin de parcours. La variété des méthodes d’enseignement et des branches est la bienvenue. Comme je suis en fin de parcours, je ne travaille qu’une seule discipline et la monotonie guette parfois. D’une manière générale, le suivi des étudiants par les assistants et les professeurs est exemplaire. (2010)

Claire: "les corrections personnalisées des assistants et le tutorat en langues sont vraiment motivants"

Je suis actuellement professeure et j'ai fait des études de langues à l'université. Il y a quelques années j'ai eu envie d'approfondir ma connaissance de la bible. Le problème étant que je ne pouvais pas me permettre d'arrêter de travailler. Lorsque j'ai trouvé la formation à distance, j'ai été impressionnée par le contenu du cursus. En plus des matières théologiques que je souhaitais (langues anciennes, Nouveau Testament…) ce cursus comprend de la philosophie, de l'éthique, les sciences des religions, de la sociologie etc., importants pour mieux comprendre notre société occidentale.
Je ne regrette pas d'avoir choisi ce cursus! Ce n'est pas toujours évident de mener de front le travail et les études, mais les matières sont passionnantes, les corrections personnalisées des assistants et le tutorat en langues sont vraiment motivants. Ce que j'aime aussi c'est la possibilité dans certaines matières de faire des recherches sur les sujets de mon choix. (2011)

Nicolas: "l’utilisation de différents outils de communication, créent un véritable environnement d’étude"

Nicolas.jpgA la fin de mes études secondaires, j’étais persuadé de vouloir continuer à étudier à la Faculté des Lettres, ce qui m’occupe d’ailleurs encore aujourd’hui. Pourtant, sans doute attiré principalement par l’envie d’apprendre un jour ou l’autre l’hébreu, mais aussi attiré par l’envie d’avoir des connaissances plus approfondies en matière de "civilisation judéochrétienne", connaissances qui m’apparaissaient alors comme parfaitement complémentaires à des études classiques et comme indispensables à la compréhension de la civilisation occidentale moderne, je suis allé suivre, en tant qu’auditeur, quelques cours à la Faculté de théologie. Puis quand j’ai vu, peu avant mon inscription à l’université, la possibilité d’effectuer un cursus complet de théologie à distance, j’ai sauté sur l’occasion, afin de pouvoir suivre en parallèle de mes études de Lettres, un enseignement universitaire en théologie.
Depuis deux ans maintenant, je poursuis donc simultanément ces deux cursus, l’un en présence et l’autre à distance. La relative liberté laissée aux étudiants par la Faculté des Lettres dans le choix de leurs horaires, m’a d’ailleurs permis de suivre jusqu’à maintenant un ou deux cours de théologie en présence, ce qui me permet d’avoir un contact plus «humain» avec les enseignants et les étudiants de théologie. Pourtant, il faut admettre que la formation à distance est organisée de telle sorte qu’à aucun moment on ne se sente esseulé. La disponibilité des professeurs et des assistants en cas de problèmes, ainsi que l’utilisation de différents outils de communication comme par exemple la vidéoconférence, créent un véritable environnement d’étude.
Pour terminer, je dirai que selon moi la principale «qualité» que requiert un tel cursus, outre la curiosité, est sans surprise l’organisation. Quelles que soient leurs éventuelles activités, j’encourage vivement celles et ceux qui hésitent à se lancer dans la découverte d’un pan important de la civilisation occidentale, à tenter l’expérience d’une formation universitaire en théologie. (2014)

Céline: "les études à distance ne sont pas dénuées de contacts humains"

<Celine.jpgDepuis l'adolescence je porte un très grand intérêt à tout ce qui touche à la spiritualité et aux religions. Pourtant, après ma maturité fédérale, je me suis orientée vers des études médicales et j'exerce la profession d'ostéopathe depuis 2003. A ce moment là j'avais des a priori vis à vis de la théologie, car je croyais que cette branche s'adressait uniquement à des croyants et pratiquants convaincus dans le but de devenir pasteur, ce qui n'était pas mon cas.
Mais au fil du temps mes lectures ont continué à alimenter ma curiosité, plus particulièrement pour le christianisme et la Bible. Je souhaitais redécouvrir ce que je considère comme le fondement de notre culture, tout en ayant conscience que sans cadre cela risquait d'être difficile de trouver mon chemin.
En 2007 j'ai entendu parler de la formation à distance, et en allant me renseigner sur le site de la Faculté, j'ai su que c'était exactement ce que je recherchais. Depuis bientôt trois ans, je combine mon activité d'indépendante à 60% et mes études. Cela demande un investissement considérable en matière de temps et de discipline, mais les efforts sont récompensés au centuple par la qualité de l'enseignement et l'enrichissement personnel que l'on en retire. De plus, contrairement à ce que l'on pourrait penser les études à distance ne sont pas dénuées de contacts humains, et j'ai eu la chance de rencontrer des personnes que je n'aurais jamais connu autrement. (2012)

Rafael: "la rigueur académique est un souci permanent"

Rafael.jpgEn 2007, onze ans après avoir obtenu mon Baccalauréat en Communication à l’Université de Brasilia (Brésil), et neuf ans après avoir obtenu un Certificat en Etudes Cinématographiques à l’Université Laval (Québec) comme formation complémentaire, je me suis dit qu'il était temps de reprendre les études, pour cette fois-ci réaliser un vieux rêve, étudier la théologie, comme projet strictement personnel, sans aucun rapport avec mon activité professionnelle de journaliste au Sénat.
Les cours proposés dans ma ville ne me plaisaient pas, car ils étaient tous liés à des séminaires d'églises, donc très influencés par des confessions religieuses particulières. Il me fallait donc recourir à l'enseignement à distance. Je me suis mis à la recherche d’une formation de ce type sur internet et n'ai rien trouvé de particulièrement satisfaisant par rapport à mes attentes.
J'ai relancé ma recherche en français, et suis alors tombé sur le site de la formation à distance de Genève, laquelle m'a paru parfaite: une opportunité d'étudier dans une université de grande tradition, dans une ville européenne à caractère cosmopolite, et en langue française. L'origine calviniste de l'institution était pour moi, issu d'un milieu presbytérien, une garantie de sérieux et de qualité pour étudier la théologie Réformée.
Je ne suis pas déçu. La rigueur académique est un souci permanent, si bien qu’étudier entièrement à distance ne diminue en rien la valeur de la formation. Au contraire, le défi d’aller jusqu’au bout de ces études est encore plus grand ; à condition de fournir un effort continuel d'organisation personnelle, de gestion du temps et de concentration. Heureusement, outre un corps professoral de très haut niveau, on peut compter sur l'aide toujours aimable de la coordinatrice et de nos anges gardiens que sont les assistants. (2014)

Ariane: "la possibilité d’étudier à mon rythme, aux moments de disponibilité"

Ariane.jpgAprès une licence en sciences économiques et plusieurs années d’expérience dans le domaine du tourisme et de la communication, l’approche de la quarantaine m’a ramenée aux questions fondamentales: comment tenter de parler d’une vie de foi à ceux qui ne la partagent pas? Comment concilier milieu professionnel économique et vie spirituelle? Il y a un moment où un travail de réunification se fait et l’idée d’une formation en théologie s’est rapidement imposée: un parcours de réflexion accompagné.
Mère de famille et travaillant à temps partiel, je ne pouvais pas suivre les cours à l’université. La formation de bachelor à distance m’a permis de réaliser mon projet, en me donnant la possibilité d’étudier à mon rythme, aux moments de disponibilité. Le parcours s’est ainsi étendu sur cinq ans qui se sont révélés formidablement stimulants, grâce à la générosité et à l’engagement des professeurs, assistants et co-étudiants. Au-delà des questions que je me posais, cette formation en a suscité bien d’autres ; elle m’a conforté dans l’idée que ce chemin intérieur est infini. (2009)