Campus n°88

Actus

Une plateforme pour promouvoir l’éducation suisse à l’étranger

L’éducation suisse a une nouvelle vitrine à l’étranger. La Swiss Learning International Platform fait la promotion des écoles suisses dans le monde. Cette plate-forme regroupe des instituts privés, des universités et des HES. Cet organisme créé le 1er septembre maintient aussi les liens entre anciens étudiants. Elle a reçu le soutien de Charles Kléber, secrétaire d’Etat à l’éducation. Swiss Learning, les Universités de Genève, Lausanne, Fribourg, Neuchâtel, Berne, Bâle, Lucerne et Lugano, ainsi que l’EPFL, l’EPFZ, un certain nombre de HES et treize écoles privées, dont neuf romandes.Platform fait la promotion des écoles suisses dans le monde. Cette plate-forme regroupe des instituts privés, des universités et des HES. Cet organisme créé le 1er septembre maintient aussi les liens entre anciens étudiants. Elle a reçu le soutien de Charles Kléber, secrétaire d’Etat à l’éducation. Swiss Learning, les Universités de Genève, Lausanne, Fribourg, Neuchâtel, Berne, Bâle, Lucerne et Lugano, ainsi que l’EPFL, l’EPFZ, un certain nombre de HES et treize écoles privées, dont neuf romandes.

Le FNS adopte la «Charte européenne du chercheur et le Code de conduite»

La direction du Fonds national de la recherche scientifique (FNS) a approuvé en août dernier la «Charte européenne du chercheur et le Code de conduite pour le recrutement des chercheurs». A l’instar d’autres initiatives européennes, la Charte et le Code de conduite mettent en exergue l’importance des chercheurs et la nécessité d’améliorer leurs conditions de travail, de recrutement et de carrière. Il s’agit notamment de faire mieux reconnaître la profession de chercheurs, de recruter et retenir les meilleurs scientifiques en Europe en y augmentant l’attractivité des conditions de travail, ainsi que d’encourager leur mobilité à l’intérieur de l’espace européen de la recherche.

Une rue pour Albert Meister

L’ancienne rue Courte à Delémont a été rebaptisée «rue Albert-Meister» en hommage au sociologue de renommée mondiale décédé en 1982. Formé à Genève, Albert Meister obtient une licence en sciences économiques et en sociologie, ainsi qu’un diplôme de l’Institut des sciences de l’éducation. Nommé assistant de recherche à l’Université du Michigan, il revient en Europe et présente sa thèse de doctorat à Genève en 1958. Chargé de conférence à l’Ecole des Hautes Etudes de Paris, il enseigne la sociologie à Belgrade, Buenos Aires, Rosario et Tucuman, ainsi qu’au sein de la Faculté des sciences économiques et sociales de l’UNIGE.

La Fondation pour Genève honore Olivier Fatio

Professeur ordinaire à la Faculté autonome de théologie dès 1972, Olivier Fatio en devient très vite le doyen, poste qu’il assumera périodiquement pendant près de vingt ans, entre autres fonctions. Auteur d’une cinquantaine d’articles et de plusieurs ouvrages, le professeur Fatio est une référence reconnue pour qui s’intéresse à l’étude de la théologie des Réformateurs et de leurs successeurs ou à l’histoire de Genève. Président de nombreuses sociétés savantes, dont la Société d’histoire et d’archéologie de Genève, la Société pour l’histoire du refuge huguenot en Suisse ou encore la Commission internationale d’histoire ecclésiastique comparée, Olivier Fatio est également à la tête du Musée international de la réforme depuis sa création en 2005.

Un centre romand pour la médecine légale

Les cantons de Vaud et de Genève ont franchi une nouvelle étape dans la coopération hospitalière avec la création du Centre universitaire romand de médecine légale. Placée sous la direction du professeur Patrice Mangin, cette structure regroupe les activités des Instituts universitaires de médecine légale du Département de médecine et santé communautaire du CHUV et du Département de médecine communautaire et de premier recours des HUG.