MA THESE EN 180 SECONDES 2024

Philippe Voruz

Faculté de psychologie et sciences de l'éducation
 

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De gauche ou de droite - La maladie de Parkinson à la croisée des chemins
Impact de la latéralisation motrice de la maladie de Parkinson sur les symptômes non-moteurs

Depuis toujours, Philippe est passionné par les domaines scientifiques. Touche à tout, il a néanmoins cherché à donner du sens à ses actions au quotidien. C’est tout naturellement, qu’il s’est orienté dans une discipline au plus proche de l’humain. C’est ainsi, qu’au cours de son Master en Recherche Approfondie en Psychologie, il découvre sa véritable passion, la neuropsychologie, une discipline qui permet d’allier au quotidien le côté humain et les sciences.  

Après être devenu papa de deux garçons et dès la fin de son master, il débute sa thèse sur la maladie de Parkinson et l’implication de la latéralisation dans l’évolution des symptômes « non-moteurs » au sein du CENLab de la Prof. Julie Péron. Mais son travail au sein du laboratoire ne se résume pas uniquement à sa thèse, il a ainsi eu l’opportunité d’étudier les phénomènes neuropsychologiques avec des patients vivants avec le syndrome post-COVID, la sclérose en plaques et dans le contexte d’accidents vasculaires du cervelet. En parallèle de sa thèse, il devient neuropsychologue clinicien au sein du département de neurologie et ensuite au sein du département de neurochirurgie des Hôpitaux Universitaires de Genève.

Son moteur au quotidien, en dehors de sa famille, c’est de permettre aux patients vivants avec des pathologies neurologiques d’améliorer leur quotidien, mais également de faire connaître au grand public les implications des symptômes/handicaps invisibles.

 

Portrait                                                                                                Prestation