Alumni MUSE
Témoignages
CLAUDIA MARSELLA I Conseillère en économie d'énergie I SIG
Conseillère en économie d’énergie aux SIG, Claudia Marsella est chargée d’organiser les opérations prévues par le plan d'action "Particuliers" Eco21 » auprès des habitants du canton. L'opération "Nouvelle lumière" a duré un mois, après un an de préparation. Un travail de gestion qui cache une magnifique aventure humaine. « C’est le travail de mes rêves » explique Claudia Marsella. Pour en arriver là, elle a cependant accumulé les petits stages, multiplié les entretiens d’information et les postulations.
MARINA DE VASCONCELOS PINHEIRO I Resp. communication rechcerche de fonds I EIRENE SUISSE
Encore étudiante du MUSE et concernée par le développement durable, Marina de Vasconcelos Pinheiro crée « Vêt’Lok », une association qui loue des vêtements pour bébés. Forte de cette expérience et d’un travail de master réalisé en Bolivie, elle est ensuite engagée comme «responsable communication, recherche de fonds et coordination Amérique centrale » chez Eirene Suisse. Dans cette petite ONG, elle assure la communication, le recrutement de bénévoles et le démarchage de fondations susceptibles de financer des projets. Parcours.
VERONICA RUIZ I Research Assistant Junior Professionnal I IUCN
Les écosystèmes et la biodiversité, tel est le fil rouge du parcours professionnel de Verónica Ruiz. Ce dernier s’est principalement déroulé dans des organisations internationales ou non gouvernementales. Actuellement Research Assistant Junior Professionnal à l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la jeune femme récolte de données écosystémiques, promeut la méthodologie de l’UICN et participe à la mise en œuvre de projets de prévention des risques climatiques.
JULIETTE LERCH I Chargée de projet I BIO-ECO
Après une spécialisation de master en sciences de l’eau, Juliette Lerch débute sa carrière dans le domaine du climat. C'est toutefois dans le domaine du management énergétique qu'elle dispense désormais ses conseils, comme chargée de projet chez Bio-Eco, petite entreprise active dans l’environnement et le développement durable.
trouver un premier emploi
- Un premier stage grâce aux entretiens d'information.
- L'allemand ouvre des portes
- S'informer sur les entreprises
- OI: le bon profil
- Milieu associatif: comment se profiler
Les atouts du MUSE
- Interdisciplinarité
- Diversité et entraînement à la rédaction
Travail de master
- un tremplin vers l'emploi
- acquérir des connaissances pratiques
Trouver un premier emploi
- S’informer sur les entreprises : « Plus je cherchais, plus je trouvais des entreprises auprès desquelles postuler »
- Envoyer des offres spontanées « J’ai ainsi trouvé mon premier stage et mon premier emploi chez Bio-Eco. »
Un premier stage grâce aux entretiens d'information
« L’objectif d’un entretien d’information est de mieux comprendre l’emploi de la personne rencontrée, explique Claudia Marsella. Je la questionnais sur son parcours et ses activités, sur l’intérêt de mon profil et de ma formation pour son entreprise. J’ai diversifié mes contacts de manière à parler avec des représentants de communes, de l’administration publique, d’entreprises privées. Toutes les personnes que j’ai sollicitées ont accepté de me rencontrer ! Ce fut d’abord le collaborateur d’une commune dont la fonction m’intéressait ; puis une personne de l’entreprise qui a supervisé mon travail de master m’a suggéré de contacter le collaborateur d’un bureau d’études, et ce dernier m’a donné une liste de tous les bureaux d’études d’impact… j’ai envoyé des offres, dont une à Ecotec qui m’a engagée en stage la semaine suivante» se souvient Claudia Marsella. Au stage suivra un contrat à durée déterminée puis un contrat fixe.
Les atouts pour travailler dans les OI
selon l'expérience de Verónica Ruiz
- Travail bénévole dans une ONG locale – Swiss Youth for Climate –, qui témoigne de son intérêt pour les questions climatiques.
- Maîtrise des langues officielles de l’ONU, le français, l’espagnol et l’anglais. « L’IUCN en exige au minimum deux. »
- Profil de biologiste spécialisée en écologie et services écosystémiques.
Milieu associatif: comment se profiler
- Une expérience associative préalable : « POur choisir en connaissance de cause et démontrer sa connaissance du milieu : travailler avec des bénévoles implique d’accepter leur mode de faire.
- Une expérience « tout terrain » : « Par mon travail de master qui traitait d’un espace urbain à risque en Bolivie, j’ai montré que je savais travailler dans un contexte très différent et établir les contacts nécessaires.
- La connaissance de … plusieurs langues : Anglais, espagnol, mais aussi allemand, « une langue importante pour les ONG, car les séances avec la DDC se déroulent à Berne et en allemand.»
A la faveur du programme Erasmus, Juliette Lerch étudie durant un an les sciences de l’environnement en Allemagne et y travaille six mois comme jeune fille au pair. Sa maîtrise de l’allemand lui vaudra son premier stage à l’Office fédéral de l’environnement à Berne. Elle lui est également utile dans son emploi actuel de chargée de projet chez Bio-Eco , où elle interagit fréquemment avec les fonctionnaires de l’administration fédérale et des bureaux d'étude suisses alémaniques..
Les atouts du MUSE
Les atouts du MUSE: Diversité et entraînement à la rédaction
- La diversité des matières enseignées : « Cela est très apprécié dans les ONG, qui interviennent souvent à plusieurs niveaux. »
- L’entraînement à la rédaction de rapports.
Les atouts du MUSE: l'Intedisciplinarité
«Le MUSE est une formation interdisciplinaire. Cela permet de comprendre le langage des spécialistes de l’environnement et de faire le lien entre eux. Le MUSE prépare aussi à la vulgarisation des problématiques environnementales. Sans parler des connaissances acquises en particulier à travers le choix de la spécialisation. »
Le travail de master
Augmenter ses compétences pratiques grâce au travail de master
« Mon travail de master a porté sur l’évaluation des services écosystémiques terrestres dans le canton de Genève. Cela m’a permis d’augmenter mes compétences car je me suis familiarisée avec les logiciels informatiques et la cartographie. Le certificat en géomatique, que j’ai effectué pendant le master, m’a également été très utile. »
Quand le travail de master mène à l’emploi
« Mon travail de master m’a permis d’obtenir un stage à l’Office fédéral de l’environnement, se souvient Juliette Lerch. Il traitait de l’impact des changements climatiques sur la gestion de l’eau dans une station vaudoise ». L’OFEV l’engage ensuite pour analyser l’impact des changements climatiques dans divers cantons suisses.