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Des étudiant-e-s de musicologie sur Espace2 (RTS)

Dans les couloirs de la Haute école de musique de Genève, six étudiantes et étudiants du cours d’initiation à la médiation musicale (UNIGE et Hem) tendent leurs micros à des professeur.e.s et de jeunes instrumentistes qui se destinent à une carrière musicale. Ce sont les "Bruits d’couloir" proposés par Anya Leveillé.

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crédits: Anne-Laure Lechat

Diffusion du 5 au 11 avril dans « L’Echo des Pavanes » sur Espace 2. Du lundi au vendredi à 19h et le dimanche à 16h0.

Oisiveté et créativité

Dans son quotidien, s’accorder des pauses mentales permet de générer de l'espace dans son esprit pour accueillir de nouvelles idées. Qu’en est-il pour les étudiantes et étudiants de la Hem? Est-il envisageable de ne rien faire? Entre les cours, les répétitions et les nombreuses heures d'étude en solitaire, est-il possible de se laisser aller à la contemplation sans éprouver de culpabilité? Peut-on s’autoriser à lâcher prise sans subir la pression de devoir produire à tout prix? Enfin, comment décrypter ses propres mécanismes de créativité? Dans les couloirs de l’école de musique, Monica Schütz a recueilli les témoignages de musiciennes et musiciens, ainsi que l’éclairage de Mariana Magnus Smith, médecin et coordinatrice de recherche à l’Université de Genève pour le projet Mindfulteen et instructrice en pleine conscience.

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Le travail de la musique, toujours un plaisir?


"Tu as tellement de chance de faire de ta passion ton métier, tu ne dois même pas te rendre compte que tu travailles!" Cette image correspond-elle à la réalité? Le travail quotidien de la musique est-il vraiment un plaisir de chaque instant? Pour mieux comprendre comment les musiciennes et musiciens perçoivent le temps passé derrière leur instrument, Angéline Sanfourche a rencontré plusieurs étudiant.e.s de la Hem et les professeur.e.s Ophélie Gaillard, violoncelliste, et Fabrizio Chiovetta, pianiste.

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De la liberté d’interprétation à la Haute école de musique

En interprétant, le musicien ou la musicienne se dévoile, partage ses émotions, tisse un lien avec son public. Un investissement personnel qui conduit à prendre des risques, cultiver ses imperfections et lâcher prise. Mais l’apprentissage de l’interprétation est-il réellement conciliable avec le système académique? Cet art peut-il vraiment être enseigné? Pour répondre à ces questions, Francesca Constantinou rencontre Michel Bellavence et Cédric Pescia, professeurs de flûte et de piano, ainsi que trois jeunes interprètes, Léo Pensel, pianiste, Clément Dami, violoncelliste, et Christel Chappuis, chanteuse.

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Peut-on questionner l'autorité académique de la Haute école de musique?

Un examen dans une haute école de musique induit-il un "formatage" chez l’interprète? Faut-il se conformer à certaines attentes du jury pour réussir un examen d’instrument? Comment le corps enseignant guide-t-il ses étudiant.e.s dans la préparation des examens et des concours? Pour comprendre la manière dont les jeunes instrumentistes "répondent" aux attentes académiques de la Hem, Thomas Gauffroy-Naudin tend son micro à Aline Champion, professeure de violon, ainsi qu’à deux étudiants, Aurèle Gerin, percussionniste, et Léo Pensel, pianiste.

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La Haute école de musique et l’écologie

Pour travailler et partager leur art, les musiciennes et musiciens se déplacent aux quatre coins du monde en prenant souvent l’avion. A l’heure d’une crise écologique sans précédent, est-il possible pour les interprètes de revoir leurs modes de déplacement? De manière plus générale, la prise de conscience écologique fait-elle partie des préoccupations du monde de la musique? Jose-Fernando A. Pettina a rencontré Cédric Pescia, professeur de piano qui pendule entre Berlin et Genève, ainsi que le hautboïste Antonio Constenla et le pianiste Léo Pensel, étudiants. Et, pour comprendre quelles mesures écologiques concrètes sont prises par la Haute école de musique, il s’est également entretenu avec Béatrice Zawodnik, coordinatrice de l'enseignement à la Hem.

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L'enseignement de la musique électroacoustique dans les hautes écoles de musique

Depuis sa création en 1948 par Pierre Schaeffer, la musique électroacoustique a toujours su se distinguer. Initialement considérée par certains comme n'étant pas de la musique, elle s'est vue rejetée plus tard par la jeunesse de 1968, reléguée au rang d’art pour l'élite. Elle n'a pas non plus échappé à des querelles internes qui ont abouti en France à la création de deux écoles : le GRM et l'IRCAM. Si aujourd'hui, elle est enseignée dans de nombreuses institutions, l'approche n'est pas la même d'une académie à une autre. Pour évoquer l’enseignement académique des arts sonores, Yann Weber s'est entretenu avec trois compositeurs et professeurs d’électroacoustique : Luis Naon (Hem), Michael Harenberg (Haute école des arts de Berne) et Nicolas Sordet (Hem, CPMDT et Institut Jaques-Dalcroze).

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1 avr. 2021

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