Travail et servitude - Colloque en Ethique - 22 mars 2019
Quelles que soient ses formes, le travail s’exerce toujours sous la contrainte de ce qui le précède, – de ce qui est donné et ce qui fait loi -, la nature et le besoin. En ce sens, même valorisé pour sa portée sociale ou spirituelle, le travail est toujours « servitude ». C’est pour s’en affranchir que la philosophie politique de l’extérieur de l’économie et la technique de l’intérieur exaltent la liberté. Mais est-il possible de sauver l'économie de la servitude ?
PROGRAMME
Vendredi
| 9h15 | Introduction | |
| 9h30- 10h30 | Arnaud Berthoud | « Travail et espérance » |
| 10h30-10h45 | Pause | |
| 10h45-11h45 | François Dermange | « L’infini est l’affaire des dieux et non des hommes» |
| 11h45-12h45 | Frédéric Rognon | « Le travail entre malédiction et sacralisation : une approche ellulienne » |
| 14h15-15h15 | Patrick Mardellat | « Travail et jouissance de la vie » |
| 15h15-16h15 | Pierre Gillouard |
« Travail et nécessité(s) chez Simone Weil : de la servitude naturelle du travailleur libre à l'oppression sociale de l'ouvrier devenu |
| 16h15-17h | Discussion générale |
Samedi matin
| 9h30-10h30 | Raymond Tortajada | « Marchandise, salaire et travail » |
| 10h30-11h30 | Feriel Kandil | « La dialectique de la parole et du travail chez Ricoeur » |
| 11h30-12h | Discussion générale |