La Faculté de médecine s'engage dans une réforme ambitieuse de l’enseignement médical. Ce projet, baptisé ENSI 23-27, vise à répondre aux besoins actuels tout en intégrant les défis de l'intelligence artificielle et de l'évolution des pratiques de soins. D’importantes réflexions sont également engagées sur la 1ère année de médecine et les défis qu’elle pose, à Genève comme ailleurs en Suisse.
Le 9 septembre dernier, l’Institut de santé globale de la Faculté de médecine de l’UNIGE a accueilli plus de 300 personnes de tous horizons afin de relever les défis qui jalonnent le développement des réseaux de soins intégrés en Suisse. Des enjeux majeurs politiques et économiques sur lesquels la recherche apporte un éclairage académique solide.
Pour ses 10 ans, le Centre du diabète entre dans une nouvelle phase. Sa nouvelle stratégie donne une place plus large aux jeunes chercheurs et chercheuses pour favoriser la collaboration, l'innovation et l'excellence scientifique. Autre objectif essentiel: renforcer le partenariat avec les malades et stimuler le dialogue entre la clinique et les laboratoires de science fondamentale.
Le Centre de recherche sur le muscle squelettique et le mouvement (CR2M) a pour objectif de comprendre et promouvoir la mobilité humaine. Biologistes, médecins et spécialistes du mouvement travailleront ensemble pour proposer de nouvelles thérapies contre les troubles musculaires ou du mouvement. Un symposium inaugural, le 17 octobre, marque son lancement officiel.
En 2014, Antoine Flahault a eu pour mission de créer et développer l'Institut de santé globale (ISG) de la Faculté de médecine. À l’occasion de son départ à la retraite de l’UNIGE et des HUG, il revient sur la construction d'un institut novateur au cœur de la Genève internationale, sur les défis de la communication scientifique et sur les menaces qui pèsent aujourd'hui sur le multilatéralisme en santé.
Noémie Colongo, étudiante de 3e année en médecine humaine, est aussi membre du Comité de l'AEMG. La diversité des études et du métier qui l'attend, où chaque jour est différent, est ce qui la passionne.
Les «enhancers» sont de petites régions de l’ADN non codant dont le rôle est de réguler l’expression d’un gène, à l’origine de nombreuses anomalies du développement. Guillaume Andrey lève le voile sur la recherche.