Journal n°104

Etudiants et collaborateurs élisent leurs représentants

Les 18 et 19 mai se tiendront les élections intermédiaires pour renouveler les représentants des étudiants et du personnel dans les organes participatifs de l’Université

Les étudiants sont appelés les 18 et 19 mai à désigner leurs représentants au sein de l’Assemblée de l’Université et des Conseils participatifs des facultés ainsi que de l’Assemblée participative du Global Studies Institute.

Les corps des professeurs, des collaborateurs de l’enseignement et de la recherche et du personnel administratif et technique renouvelleront quant à eux leurs représentants au sein de la Commission du personnel.

En mai 2013, l’Assemblée ainsi que l’ensemble des Conseils participatifs ont été intégralement renouvelés lors des élections générales qui ont lieu tous les quatre ans. La plus grande mobilité des étudiants oblige cependant à renouveler leurs représentants tous les deux ans. Quant à la Commission du personnel, les mandats y sont d’une durée de deux ans.

L’Assemblée de l’Université est impliquée dans les orientations stratégiques de l’Université. C’est notamment elle qui désigne la rectrice ou le recteur proposé à la nomination par le Conseil d’Etat. Elle compte 45 membres, dont dix sont issus du corps estudiantin.

Les Conseils participatifs des facultés sont chargés d’approuver les règlements et les programmes d’études ainsi que d’adopter le règlement d’organisation des UPER concernées en vue de leur adoption par le Rectorat. Ils proposent au recteur une candidate ou un candidat à la fonction de doyen.

Quant à la Commission du personnel, elle est avant tout un organe consultatif qui fait le lien entre le Rectorat et le personnel de l’Université.

Si les dernières élections de ce type se font faites par voie électronique (en 2011), ce ne sera pas le cas cette année. La période d’avril à juin est en effet chargée en termes d’élections et de votations dans le canton et ne permet pas à la Direction du support et des opérations de vote de la Chancellerie d’Etat de mettre son système de vote électronique à la disposition de l’Université. Elle apportera néanmoins son habituel soutien pour le dépouillement.