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1951-09-18, Denis de Rougemont à Jean Paulhan

Cher ami,

On ne m’a pas invité, c’est sans doute un oubli, mais je vous envoie ces quelques pages sur Gide, parce que je l’ai connu, aimé et pas aimé, aimé de nouveau, et que je lui dois beaucoup.

Dites-moi si c’est trop indiscret. Votre avis m’a toujours importé plus qu’un autre.

Affectueusement à vous.
Denis de Rgt

 

Si j’arrive trop tard, vous seriez gentil de me le faire savoir, je donnerai ce petit texte ailleurs.