1932-07-12, Jean Paulhan à Denis de Rougemont
Le 12 juillet 1932
Mon cher ami,
Mais vous me trouveriez à la NRF n’importe quel soir, vers six heures (sauf le lundi et le samedi) ! (Mais vous auriez beaucoup plus de chances de me trouver seul si vous veniez le mercredi vers trois heures et demie.) Je reste à Paris jusqu’à la fin de juillet.
Entendu pour l’Éloge de l’imprudencea. Il me tarde de vous revoir.
À vous.
Jean Paulhan